Le moment de la possession est une crise de l'amour.
Jean-Jacques Rousseau
J'aimais la nature et sa parfaite indifférence. Sa façon d'appliquer son plan précis de survie et de reproduction, quoi qu'il puisse se passer chez moi.
Adeline Dieudonné
Il faut se défier de la gaieté que montre souvent le Français dans ses plus grands maux ; elle prouve seulement que, croyant sa mauvaise fortune inévitable, il cherche à s'en distraire en n'y pensant point, et non qu'il ne la sent pas.
Alexis de Tocqueville
Se lamenter, c'est empirer un malheur.
Bonaventure Des Périers
J'ai embrassé plusieurs crapauds dans ma vie, mais maintenant j'ai trouvé mon prince.
Britney Spears
Je ferai aimablement remarquer aux hommes politiques qui me prennent pour un rigolo que ce n'est pas moi qui ai commencé.
Coluche
Et d'où il vient, votre sang du Christ ? C'est le pinard que les prêtres avalent pendant la messe ? On m'a cloné à base de merlot ou de chardonnay ?
Didier van Cauwelaert
Si la vie demeurait triste, elle ne s'appellerait pas la vie, et ce n'est que par de tels moyens qu'elle échappe à la tristesse et à son proche cousin, l'ennui.
Érasme
Quiconque a Dieu avec lui n'est jamais moins seul que quand il est seul.
Guillaume de Saint-Thierry
La vérité, pour la grande majorité des hommes, étant ce qu'ils croient, c'est surtout avec leurs croyances qu'on doit gouverner les peuples.
Gustave Le Bon
En politique il faut avoir des convictions, en être fier, les défendre.
Michèle Alliot-Marie
Les malheurs, on peut les supporter ; ils viennent de l'extérieur, ce sont des accidents. Mais souffrir de ses propres fautes, voilà qui est particulièrement amer !
Oscar Wilde
La plus grande joie d'une femme, dont elle peut tirer les conséquences sensuelles les plus profondes, c'est la certitude que lui donne un homme de sa virilité morale.
Pierre Drieu la Rochelle
Le boucher ne craint pas l'abondance des moutons.
Proverbe Égyptien
Les grands discours font les longs jours.
Proverbe Français
Le peuple ressemble à des boeufs, à qui il faut un aiguillon, un joug et du foin.
Voltaire