Citation de Jean-Jacques Rousseau

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Dévoré du besoin d'aimer sans jamais l'avoir pu bien satisfaire, je me voyais atteindre aux portes de la vieillesse, et mourir... - Jean-Jacques Rousseau

Dévoré du besoin d'aimer sans jamais l'avoir pu bien satisfaire, je me voyais atteindre aux portes de la vieillesse, et mourir sans avoir vécu.

Jean-Jacques Rousseau

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La grande leçon de l'histoire est que l'homme ne tire presque jamais de leçons de l'histoire.

Anonyme

Vous pouvez contester Platon sans que Zeus vous foudroie et réfuter l'apôtre Paul sans que les Enfers vous engloutissent.

Eve de Castro

Vous filez un mauvais coton ... vous n'êtes pas seul, d'ailleurs. On croirait que ce maudit village est sous le coup d'un sort.

Georges Bernanos

Il faut pardonner à ses ennemis mais pas avant de les avoir vus pendus.

Heinrich Heine

Et je crois que Dieu pardonnera à tout le monde, sauf aux médiocres.

Jean Anouilh

Chacun rêve d'une part de mystère dans son existence, mais rares sont ceux qui font ce qu'il faut pour la mériter.

Jim Harrison

Une amitié fondée sur les affaires vaut mieux qu'une affaire fondée sur l'amitié.

John D. Rockefeller

Dans un silence de l'orchestre on entendit une voix qui disait : -Oh ! moi, je les préfère au beurre.

Jules Renard

Comme les deux faces d'un disque de métal non gravé, Satya et Ahimsâ sont si étroitement liés qu'il est impossible de les séparer. Comment reconnaître l'avers de l'envers ?

Mahatma Gandhi

Un seul de tes regards, un seul de tes sourires, me rend heureux : je t'aime éperdument.

Marie-Jeanne Riccoboni

Rien ne rapproche les gens aussi vite (même si c'est souvent un rapprochement trompeur) qu'une entente triste, mélancolique.

Milan Kundera

Futilité des biens matériels : la trotteuse d'une montre qui continue à tourner au poignet d'un homme mort.

Patrick Sébastien

Qui a peur des feuilles, n'aille au bois.

Proverbe Anglais

Lorsqu'on peut tout savoir, il faut savoir aussi tout taire.

Victor Hugo

Ma beauté, quoique médiocre, n'a pas besoin du fard de vos louanges : la beauté s'estime et se prend sur le jugement des yeux, et non sur l'humiliant éloge de la langue intéressée à la vanter.

William Shakespeare