Citation de Jean-Jacques Rousseau

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Plus le corps est faible, plus il commande ; plus il est fort, plus il obéit. Toutes les passions sensuelles logent dans... - Jean-Jacques Rousseau

Plus le corps est faible, plus il commande ; plus il est fort, plus il obéit. Toutes les passions sensuelles logent dans des corps efféminés ; ils s'en irritent d'autant plus qu'ils peuvent moins les satisfaire.

Jean-Jacques Rousseau

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Allons ! Vive l'amour que l'ivresse accompagne !

Alfred de Musset

Sans ennemi, l'être humain est une pauvre chose. Sa vie est une épreuve, un accablement de néant et d'ennui.

Amélie Nothomb

Il n'est d'industrie durable que celle qui vend de la bonne qualité.

Auguste Detoeuf

On dirait que les riches sont à un centime près.

Christian Bobin

Ne jamais dire : "C'est leur faute." C'est toujours notre faute.

Claude Aveline

Le maître dit : ne vous affligez point de votre obscurité ; affligez-vous de votre incompétence.

Confucius

... seul le souffle de l'amour peut porter sans dommage d'un être à l'autre les nourritures de l'âme.

Henri Gougaud

Il convient que l'impôt soit payé par celui qui emploie la chose taxée plutôt que par celui qui la vend.

Jean-Jacques Rousseau

Temps : Mon passé très présent rend mon futur imparfait.

Laurent Baffie

Le jansénisme des chrétiens, c'est le stoïcisme des païens, dégradé de figure et mis à la portée d'une populace chrétienne ; et cette secte a eu des Pascal et des Arnauld pour défenseurs !

Nicolas de Chamfort

Je me croyais destiné à la poésie, mais ce n'était pas le cas.

Norman Rush

Soleil rouge en août, - C'est de la pluie partout.

Proverbe Français

Jouer un rôle, c'est pas que de l'apparence. C'est aussi une magie étrange qui a le pouvoir de changer le destin. À force d'imiter quelque chose, on finit par le devenir.

Sebastian Barry

Le pilote ne quitte pas son navire, devant la tempête, parce qu'il ne peut maîtriser le vent.

Thomas More

En somme, je fais ce que je peux, je souffre de la souffrance universelle, et je tâche de la soulager, je n'ai que les chétives forces d'un homme, et je crie à tous : aidez-moi.

Victor Hugo