Citation de Jean Lartéguy

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Hier au soir, j'ai levé une petite. Pas besoin de la baratiner longtemps. Elle marche tout de suite pour aller au cinoche.... - Jean Lartéguy

Hier au soir, j'ai levé une petite. Pas besoin de la baratiner longtemps. Elle marche tout de suite pour aller au cinoche.

Jean Lartéguy

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Si l'esclavage n'est pas mauvais, rien n'est mauvais.

Abraham Lincoln

Parfois, je peux me perdre... mais dans la musique ! Cette échappatoire m'évite d'aller vers autre chose de plus toxique.

Alice Taglioni

Aimer, c'est forcément être optimiste.

Bernadette Chirac

Il ne faut pas négliger le bonheur ni mépriser l'amour qu'on nous porte.

Christian Authier

Lorsqu'on a rendu autant de gens heureux avec des disques, on n'a pas le droit de prétendre qu'on a raté sa vie.

Demis Roussos

La lecture lui ouvrit des horizons romanesques qu'elle ignorait encore ; elle n'avait aimé qu'avec son sang et ses nerfs, elle se mit à aimer avec sa tête.

Emile Zola

Nu, du ciel je suis descendu, - Et nu je suis sous cette pierre. - Donc pour avoir vécu sur terre, - Je n'ai ni gagné ni perdu.

Eugène Beaumont

Le plus pénible avec Coelho n'est pas de lire ses livres, mais de savoir où mettre le h.

Grégoire Lacroix

Je croyais que l'espoir pouvait tout vaincre, mais je me fourvoyais. L'espoir ne peut pas vaincre la vérité. Ils ne peuvent coexister. La vérité détruit l'espoir. Les actes les plus cruels sont commis au nom de la vérité.

Karen Maitland

J'aime le choc de deux mots qui créent une image, un sentiment, une sensation physique...

Pascal Garnier

Quelles scènes si on annonçait demain la fin du monde.

Paul Léautaud

Les heures, les jours, les mois, s'envolaient dans ce pays autrement qu'ailleurs ; le temps s'écoulait sans laisser de traces, dans la monotonie d'un éternel été.

Pierre Loti

Telle mère, telle fille, mais parfois le bouton n'a pas le parfum de la fleur entièrement éclose.

Sophie Cottin

Voyez-vous, un parfum éveille la pensée.

Victor Hugo

Nos paupières nous deviennent des portes dérobées ; closes, elles nous racontent ; ouvertes, elles donnent sur nous-mêmes. Nous sommes les otages de nos souvenirs. Nos yeux ne nous appartiennent plus.

Yasmina Khadra