Depuis la mort d'une certaine dame (Pompadour), qui n'aimait pourtant pas les philosophes, le parti jésuitique commence à revirer tant soit peu de bord.
Jean Le Rond d'Alembert
Les morts ne parlent pas. Les morts ne pensent pas. Les morts sont morts, tout simplement. Mais la seule vraie tombe, c'est l'oubli, songea-t-il.
Bernard Minier
Il nous faut de l'amour car notre âme s'en nourrit. Il nous faut de l'amour car sans lui nous sommes faibles et timides.
Dan George
Chaque fois qu'il allait voir son banquier, il avait un air emprunté !
Didier Hallépée
C'était la mode, et j'avoue que c'était moi qui donnais le ton, malgré mon amie Elisabeth.
Elsa Triolet
Voilà trois mois que je lis exclusivement de la métaphysique ! Après tant d'abstractions, vous pouvez penser s'il m'a été doux de me désaltérer dans le réel.
Gustave Flaubert
Nous nous courrouceons contre les chiens qui nous abayent et contre les asnes qui nous regibbent.
Jacques Amyot
Qui cesse d'être trop bon parait vite méchant.
Jean Antoine Petit-Senn
Si quelqu'un a un adjoint dans l'entreprise, cela signifie qu'il y a quelqu'un de trop dans l'organisation.
Jean-Marie Descarpentries
C'est pour ça qu'il faut se parler. Toujours. Sinon on entasse les malentendus et on devient malentendants. On ne s'écoute plus.
Katherine Pancol
Un officier prussien : - Vous les Français, vous vous battez uniquement pour l'argent, tandis que nous, les Prussiens, nous ne nous battons que pour la gloire. - Bonaparte : - Vous avez bien raison. Chacun se bat pour acquérir ce qui lui manque...
Napoléon Bonaparte
On a beau se dire qu'on fait des enfants pour qu'ils puissent s'envoler et être heureux, on ne veut que les retenir, être les seuls à leurs yeux, qu'ils ne coupent jamais le cordon, qu'ils aient encore besoin de nous.
Nathacha Appanah
Peau qui pèle va au ciel.
Paul Éluard
Penser est la deuxième plus belle chose du monde. La plus belle est la poésie. S'il existait une pensée poétique et une poésie pensante, ce serait le Paradis.
Peter Bieri
Les amis tels que nous les désirons sont des rêves et des fables.
Ralph Waldo Emerson
Le vêtement, à l'époque moderne, est devenu pour l'homme une sorte de peau dont il ne se sépare sous aucun prétexte et qui lui adhère comme le pelage à l'animal, à ce point que la forme réelle du corps est de nos jours fout à fait tombée en oubli.
Théophile Gautier