J'ai bien peur qu'il (le Commentaire sur Corneille) n'excite de grandes clameurs de la part des fanatiques ; car la littérature a aussi les siens.
Jean Le Rond d'Alembert
Hier lors de notre rencontre Je libérais mon âme de la nuit de ses chaînes
Adonis
Pitié. Qualité chérie des coupables confondus.
Ambrose Bierce
Il y aura toujours des gens qui n'aiment pas la jeunesse, Pour qui d'avoir vingt ans et de vivre sans un sou Est un péché dont le bonheur les rend fous.
Charles Trenet
Je ne sais ni chanter, ni danser, ni jouer la comédie. Que pourrais-je faire d'autre qu'animateur de télévision ?
David Letterman
Mais l'amour... ben l'amour ça ressemble à de l'eau, ça n'a aucune consistance et ça vous fuit entre les doigts, au moment où l'on s'y attend le moins.
Francine Lemay
Je tentai l'aventure, et il m'arriva ce qui arrive à quiconque marche sur l'objet de sa frayeur : le fantôme s'évanouit.
François-René de Chateaubriand
L'essentiel est d'être en contrôle de votre propre destin.
James Woods
Puisque je n'ai pas les moyens de mourir jeune, il faut tenir.
Jean Dutourd
Les défauts qui rendent un homme ridicule ne le rendent guère odieux : de sorte qu'on échappe à l'odieux par le ridicule.
Joseph Joubert
Il y a de fort bonnes gens qui ne peuvent se désennuyer qu'aux dépens de la société.
Luc de Clapiers
Boire ce n'est pas obligatoirement vouloir mourir, non. Mais on ne peut pas boire sans penser qu'on se tue. Vivre avec l'alcool, c'est vivre avec la mort à la portée de la main.
Marguerite Duras
On a souvent parlé de la couleur et de la saveur des mots. Mais on n'a jamais rien dit de leur tension, de l'état de tension de l'esprit qui les profère, dont ils sont l'indice et l'index, de leur chargement.
Paul Claudel
Chien qui court, vaut mieux que lion couché.
Proverbe Arabe
Si nous ne pouvons empêcher les jeunes gens d'être étourdis, souvenons-nous qu'ils ont peu de temps à l'être.
Stanislas Leszczinski
Bonne année pour chacune et chacun de vous, pendant les quelques minutes où je vais vous parler, je ne voudrais ni vous ennuyer, ni vous attrister. Adieu donc 1974 et salut à toi 1975.
Valéry Giscard d'Estaing