Citation de Jean Le Rond d'Alembert

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Bientôt on sentit qu'il fallait transporter dans notre langue les beautés et non les mots des langues anciennes.... - Jean Le Rond d'Alembert

Bientôt on sentit qu'il fallait transporter dans notre langue les beautés et non les mots des langues anciennes.

Jean Le Rond d'Alembert

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L'embarras est l'angoisse du choix.

Albert Brie

Dans la littérature, faute de merles, on finit parfois par manger la grive.

Charles Dantzig

On ne lit pas un livre pour une histoire, on lit un livre pour danser avec son auteur.

Charles Dantzig

La démonstration est forcément satisfaisante, quand elle vaut disculpation.

François de Closets

Je vois les reflets d'une aurore dont je ne verrai pas se lever le soleil. Il ne me reste qu'à m'asseoir au bord de ma fosse ; après quoi, je descendrai hardiment, le crucifix à la main, dans l'éternité.

François-René de Chateaubriand

Ce qui, le plus violemment, nous révolte, est en nous.

Georges Bataille

Quand l'image est au point, tant mieux. Mon but est de capturer ce qui se cache sous la surface.

Hilary Duff

Il est aussi difficile à un poète de parler poésie qu'à une plante de parler horticulture.

Jean Cocteau

Dès le premier effort sa colère s'abat.

Jean de Mairet

Les grands ne connaissent pas le peuple, et n'ont aucune envie de le connaître.

Luc de Clapiers

Un metteur en scène, c'est un monsieur qui a une grosse montre pour surveiller si les acteurs ne se débinent pas avant 7 heures.

Michel Audiard

Quelle lâcheté de se sentir découragé du bonheur des autres et d'être accablé de leur fortune.

Montesquieu

Je ne demande pas à la raison si j'ai raison.

Paul Nizan

Tout homme qui abandonne l'idéal de la Justice doit s'attendre à être traité comme une bête.

Philippe Bartherotte

Dieu, c'est l'incompréhensible incontestable. L'homme ayant perdu l'union, l'esprit humain a perdu l'unité. Mettez un aveugle au soleil : il ne le verra pas, mais il le sentira. Tiens, dira-t-il, j'ai chaud.

Victor Hugo