Citation de Jean-Louis Curtis

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De fait, l'état général était à la limite du délabrement. Large excédent de cholestérol. Traces d'albumine.... - Jean-Louis Curtis

De fait, l'état général était à la limite du délabrement. Large excédent de cholestérol. Traces d'albumine.

Jean-Louis Curtis

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Borné dans sa nature, infini dans ses voeux. L'homme est un Dieu tombé qui se souvient des cieux.

Alphonse de Lamartine

Quand on achève un livre de Duras, on éprouve une frustration. C'est comme une enquête au terme de laquelle on a peu compris. On a entrevu des choses au travers d'une vitre dépolie. On sort de table en ayant faim.

Amélie Nothomb

Une série de tests de compétences épars, additionnés, juxtaposés ne constitue ni une formation cohérente et encore moins une éducation.

Claude Allègre

Le chocolat est divin, moelleux, sensuel, profond. Noir, somptueux, gratifiant, puissant, dense, crémeux, séducteur, suggestif, riche, excessif, soyeux, doux, luxueux, céleste...

Elaine Sherman

On pourrait connaître la beauté de l'univers dans chaque âme si l'on pouvait déplier tous ses replis, qui ne se développent sensiblement qu'avec le temps.

Gottfried Wilhelm Leibniz

Le plaisir de manger est le seul qui, pris avec modération, ne soit pas suivi de fatigue.

Jean Anthelme Brillat-Savarin

Garde-toi, tant que tu vivras, de juger des gens sur la mine.

Jean de La Fontaine

Personne n'est jamais allé supposer d'un vase qu'il suffirait, pour l'emplir et le faire déborder, d'une seule goutte d'eau.

Jean Paulhan

L'homme ordinaire est exigeant avec les autres. L'homme exceptionnel est exigeant avec lui-même.

Marc Aurèle

La mort, c'est l'absence de rêves.

Michel del Castillo

Notre armée déroute. L'empereur est mort !

Paul Claudel

Pourquoi Noël arrive-t-il toujours quand les magasins sont bondés ?

Paulo Vincente

Vent de Toussaint, - Terreur de marin.

Proverbe Français

J'étais ravie d'avoir dans sa bouche mon amande mieux aoûtée que n'importe quel fruit de la saison...

René Depestre

Rendre triste une femme charmante, est une offense amère.

William Shakespeare