Citation de Jean-Louis Fournier

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J'ai été amputé de toi sans anesthésie. On m'a retiré ma moitié, ce que j'avais de mieux. Je m'arrose de ton parfum pour que tu... - Jean-Louis Fournier

J'ai été amputé de toi sans anesthésie. On m'a retiré ma moitié, ce que j'avais de mieux. Je m'arrose de ton parfum pour que tu repousses.

Jean-Louis Fournier

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Explorer les Citations

Le dieu de l'amour est né en même temps que moi que sera donc l'amour lorsque je serais mort ?

Adonis

Hebdrolmadaire : chameau qui rit tous les lundis.

Alain Finkielkraut

La maison où il n'y a plus de mère, dit le proverbe kabyle, même quand la lampe est allumée, il y fait nuit.

Alice Zeniter

La culpabilité qui accompagne souvent ceux qui ne travaillent pas, qui ne créent rien, peut être plus terrible et destructrice que la discipline et le sacrifice du travail et de la création.

Anaïs Nin

Compenser auprès des jeunes femmes les ravages de l'âge par le prestige du verbe !

Claude Courtot

La beauté de l'apparence est seulement un charme de l'instant ; l'apparence du corps n'est pas toujours le reflet de l'âme.

George Sand

Pour un homme qui a vécu de sa prose il est assez vexant de finir dévoré par des vers.

Grégoire Lacroix

Ne jamais passer derrière un cheval ni devant une femme sans faire attention.

Honoré de Balzac

Et sembloit qu'ils le feist par despit d'eulx tant seulement, et pour leur desplaire expressement.

Jacques Amyot

Je ne savais pas aimer hors de toi, toi que pourtant je ne parvenais pas à atteindre.

Laurence Tardieu

Il suffit de garder les yeux ouverts : tout se charge de signification.

Michelangelo Antonioni

Quand en hiver est été, - Mais en été l'hivernée, - Cette contrariété, - Ne fit jamais bonne année.

Proverbe Français

L'argent change tout en concepts, l'argent est désagréablement rationnel. Quand je vois de l'argent, je pense immanquablement à des doigts méfiants, à beaucoup de criailleries et de raisonnements.

Robert Musil

Présent d'ennemi, présent de malheur.

Sophocle

Toutes les couches de la misère humaine, les expatriés et les excommuniés, les déshérités.

Victor Hugo