Citation de Jean-Paul Sartre

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Dans l'autobus, au cinéma, dans le métro, elle était scandaleuse, elle disait toujours ce qu'il ne fallait pas dire, sa voix ronde... - Jean-Paul Sartre

Dans l'autobus, au cinéma, dans le métro, elle était scandaleuse, elle disait toujours ce qu'il ne fallait pas dire, sa voix ronde lâchait des mots scandaleux.

Jean-Paul Sartre

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Je ressemble au type de gars qui a une bouteille de bière dans ma main.

Charles Bronson

L'intolérance n'est de droit que pour l'infaillibilité. Les hommes ont le devoir d'être mutuellement tolérants, parce qu'ils sont tous faillibles.

Charles Dollfus

La délation est le premier devoir d'un républicain. Les bons auteurs vous le diront. C'est aussi le premier article de la tyrannie.

Daniel Boulanger

Les paroles seules comptent. Le reste est bavardage.

Eugène Ionesco

Je suivis d'abord le cours de la rivière, mes recherches botaniques ne furent pas heureuses ; les plantes étaient peu variées.

François-René de Chateaubriand

Lord X sera chez lui tel jour de telle heure à telle heure. - G.-B. Shaw aussi.

George Bernard Shaw

J'ai eu dans mon enfance et ma jeunesse un amour effréné des planches. J'aurais été peut-être un grand acteur, si le ciel m'avait fait naître plus pauvre.

Gustave Flaubert

Ilz leur donnoient la gehenne, ilz les detiroient sur le chevalet.

Jacques Amyot

Le couple, c'est autrui à bout portant. Choisir c'est se livrer.

Jacques Chardonne

Une femme sortit de l'immeuble. Elle tenait un airedale en laisse. L'airedale est un grand chien, mais moins que le bull-mastif. Cet airedale-ci faisait soixante centimètres, et c'était un mâle.

Jean-Patrick Manchette

Non, vous n'êtes pas morts gratuits. Vous êtes les témoins de l'Afrique immortelle, vous êtes les témoins du monde nouveau qui sera demain.

Léopold Sédar Senghor

L'esprit joue. Le coeur déjoue.

Maurice Toesca

Je sais que tu peux te battre, mais c'est ton esprit qui fait de toi un homme.

Mel Gibson

Je hais le peuple. Il pue dans le métro, il pue sur le trottoir.

Pierre Boudot

Ecrire c'est ébranler le sens du monde, y disposer une interrogation indirecte, à laquelle l'écrivain, par un dernier suspens, s'abstient de répondre. La réponse, c'est chacun de nous qui la donne, y apportant son histoire, son langage, sa liberté.

Roland Barthes