Citation de Jean-Paul Sartre

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Pour aimer, pour haïr, il faut se donner. Qui suis-je et qu'ai-je à donner, moi ? J'existe à peine, de tous les fantômes qui r... - Jean-Paul Sartre

Pour aimer, pour haïr, il faut se donner. Qui suis-je et qu'ai-je à donner, moi ? J'existe à peine, de tous les fantômes qui rôdent aujourd'hui dans la ville, aucun n'est plus fantôme que moi.

Jean-Paul Sartre

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Le fanatisme pousse à faire des choses impensables, ça te donne une force que tu ne soupçonnais pas d'avoir, un courage que tu ne rêvais même pas de posséder.

Andrea Camilleri

Les hommes sont comme les vins : avec le temps, les bons s'améliorent et les mauvais s'aigrissent.

Cicéron

Les âmes seules et désolées se donnent rendez-vous au bout du monde.

Gilbert Cesbron

J'étais noire et je grandissais dans un quartier entièrement blanc. Je me sentais comme si je n'étais tout simplement pas à ma place. Comme si je n'étais pas aussi bien que tout le monde, ni aussi intelligente, ou autre.

Halle Berry

En effet sa douleur renouvelle sa rage, Et bientôt le combat tourne à son avantage.

Jean Racine

Qu'il ait bien l'impression que tu es un des secrétaires chargés de trier les visiteurs, d'aiguiller les affaires, d'expédier le menu fretin.

Jules Romains

La réalité se mesure à l'épreuve des faits et rend les hommes plus impitoyables.

Lao She

Le comble pour un couturier, c'est de se faire arrêter sur l'autoroute à l'embranchement d'une bretelle parce qu'il n'a pas sa ceinture !

Michèle Bernier

Un jour, j'ai entendu un homme sage dire qu'il n'y a pas d'hommes parfaits. Seules les intentions parfaites.

Morgan Freeman

Ton amour est dans ma vie comme un roseau dans les bras du vent.

Patrick Cauvin

Une voix de basse-taille, derrière eux, vient les interrompre, un bonjour basque, creux comme un son de caverne.

Pierre Loti

La queue c'est féminin. Le con masculin. Question de chance.

Serge Gainsbourg

Les partis politiques sont une sorte d'aboutissement de l'activité associative. On ne peut guère imaginer le fonctionnement d'une société démocratique sans eux.

Václav Havel

Une fois dans la cour, tu t'es senti envahi par un malaise, honteux de ce que tu avais fait. Tu faisais l'expérience de cette banalité qu'on ne se sent pas toujours plus fort de découvrir la faiblesse de l'autre.

Valentin Musso

C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire.

Voltaire