Citation de Jean-Paul Sartre

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Il faudrait nous comparer à un condamné à mort qui se prépare bravement au dernier supplice, qui met tous ses soins à faire belle f... - Jean-Paul Sartre

Il faudrait nous comparer à un condamné à mort qui se prépare bravement au dernier supplice, qui met tous ses soins à faire belle figure sur l'échafaud et qui, entre-temps, est enlevé par une épidémie de grippe espagnole.

Jean-Paul Sartre

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Vin vieux, or vieux, ami vieux, sont loués en tous lieux.

Anonyme

L'oeuvre d'un poète est liée intimement à sa vie : la joie ou la douleur de ses livres, ce sont les siennes particulièrement, mais exaltées et généralisées, jusqu'à devenir la joie et la douleur humaines.

Charles Vildrac

Les habitudes de la vie suivent leurs cours ; quoi qu'il arrive, nous accomplissons les mêmes gestes, nous mangeons, nous dormons, nous faisons notre toilette. Aucune crise n'entame l'armature des habitudes.

Daphné du Maurier

Les garçons quand c'est malade, ça croit que ça va mourir !

Florence Foresti

Tu ne dois pas avoir peur d'avouer tes sentiments à ceux que tu aimes.

Guillaume Musso

Quand un homme a deux choses à vous dire, c'est toujours la seconde qui lui tient le plus à coeur.

Jacques Chancel

Ce qui est pardonnable est d'avance pardonné. D'où l'aporie : on n'a jamais à pardonner que l'impardonnable.

Jacques Derrida

L'homme seul est l'auteur de sa propre histoire, même si l'histoire suit ses propres lois.

Koco Racin

Dans la vie, bien souvent, les responsabilités nous échappent, comme l'eau qu'on puise avec un panier percé.

Lao She

Des millions de fantômes nous entourent alors qu'il y a à peine 50 vins d'exceptions, c'est ça qu'il faut voir.

Lewis Trondheim

Les hommes ne sont pas encore guéris de la mâladie.

Louise Leblanc

Quand la bourse se rétrécit, la conscience s'élargit.

Noël du Fail

Il est possible de guillotiner un pendu. Lecontraire est nettement plus difficile.

Philippe Geluck

L'homme blanc ne semble pas remarquer l'air qu'il respire. Comme un homme qui met plusieurs jours à expirer, il est insensible à la puanteur. Mais si nous vous vendons notre terre, vous devez vous rappeler que l'air nous est précieux, que l'air partage son esprit avec tout ce qu'il fait vivre. Le vent qui a donné à notre grand-père son premier souffle a aussi reçu son dernier soupir

Seattle

Plutôt le lierre, disais-tu, l'attachement du lierre aux pierres de sa nuit : présence sans issue, visage sans racine.

Yves Bonnefoy