Citation de Jean-Paul Sartre

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Ne t'énerve pas. Assieds-toi. Mets les mains sur les genoux, tes poignets te feront moins mal. Et puis tais-toi. Essaye de dormir o... - Jean-Paul Sartre

Ne t'énerve pas. Assieds-toi. Mets les mains sur les genoux, tes poignets te feront moins mal. Et puis tais-toi. Essaye de dormir ou réfléchis.

Jean-Paul Sartre

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Du jour de ma naissance, d'incroyables malheurs les assaillirent par vingt endroits.

Alphonse Daudet

Le temps n'est qu'une abstraction élastique pouvant être contenue dans une seconde ou dans l'éternité.

Francine Ouellette

Empruntez la vie, elle vous rendra un cercueil.

Jacques Sternberg

Les promesses trompeuses dont le faux prophète Hananias amusait le peuple.

Jacques-Bénigne Bossuet

Il n'y a pas d'autre richesse que la vie, la vie comprenant toute puissance d'amour, de joie et d'admiration.

John Ruskin

Sarkozy, c'est le leader de la liste Pêche, Nature et Trahison.

Laurent Ruquier

La drôlesse triomphante sonnait la fanfare de son rire de cabanon.

Léon Bloy

Pour la grande, l'immense majorité des créateurs, il y a une volonté évidente de se survivre, ou de faire survivre ce que l'on a devant soi.

Maurice Druon

Et pourquoi pas de la quinine et un passe-montagne ? On croirait vraiment que j'pars au Tibet.

Michel Audiard

Ses intelligences même s'étendent jusques en Afrique, et en Asie, et il est informé de tout ce qui s'agite dans le conseil d'en haut du Prête-Jean et du grand mogol.

Molière

Les enfants posent en général deux sortes de questions : celles qui exigent une réponse, et celles qui n'en exigent pas.

Noëlle Châtelet

Rien ne vaut l'herbe douce-amère, pleine d'été, de silence et d'orage, d'une chevelure qui se noue autour de notre tristesse comme l'algue harmonieuse autour du noyé.

O. V. de L. Milosz

Partout, à l'infini, sur cette mer équatoriale, ce n'était qu'humidité chaude, que lourdeur irrespirable.

Pierre Loti

Donner un sens plus pur aux mots de la tribu...

Stéphane Mallarmé

C'était toujours comme si toutes les traces se perdaient dans le sable.

W. G. Sebald