Citation de Jean Paulhan

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Il serait étrange que l'illusion ne jouât pas dans les jugements que portent les uns sur les autres des hommes de professions ou d'occu... - Jean Paulhan

Il serait étrange que l'illusion ne jouât pas dans les jugements que portent les uns sur les autres des hommes de professions ou d'occupations différentes.

Jean Paulhan

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La vie et le temps passent vite, ensuite, il est trop tard pour les regrets...

Anonyme

Cette harmonie constitue un des éléments nouveaux des toujours délicieusement abracadabrantesques compositions de Waroquier...

Antonin Artaud

Il ne peut pas y avoir de monarchie dans les planètes, parce qu'elles accomplissent toutes une révolution.

Aurélien Scholl

Le plus grand abandon est à l'orée de la plus vive douceur : c'est ce que disait la croix, comme un ange couché sur le cercueil.

Christian Bobin

Les ouvrages communs durent quelques années ; - Ce que Malherbe écrit dure éternellement.

François de Malherbe

Mens sana in corpore sano est une maxime absurde. Le corps est le produit de l'esprit sain.

George Bernard Shaw

Garde-côte : Ne jamais employer cette expression au pluriel en parlant des seins d'une femme.

Gustave Flaubert

Personne ne rend à sa génération un service plus grand que celui qui, soit par son art, soit par son existence, lui apporte le don d'une certitude.

James Joyce

Pour qui les possède, les faux biens de la terre ne gardent plus leurs attraits ; de même, au contact de nos lèvres, les coquettes fardées perdent l'éclat qui nous avait charmés.

Jean Antoine Petit-Senn

Le peuple est sans doute un animal imbécile qui se laisse conduire dans les ténèbres, quand on ne lui présente pas quelque chose de mieux.

Jean Le Rond d'Alembert

La terre est notre mère : elle enfante nos corps, et le ciel y joint l'âme.

Marcus Pacuvius

Je t'adopte pour fils, accepte-moi pour père.

Pierre Corneille

Pour obtenir une femme qui le veut bien, il faut la traiter comme si elle ne le voulait pas.

Pierre-Augustin Caron

L'oeil de Julien suivait machinalement l'oiseau de proie. Ses mouvements tranquilles et puissants le frappaient, il enviait cette force, il enviait cet isolement. C'était la destinée de Napoléon, serait-ce un jour la sienne ?

Stendhal

Beaucoup ne tenaient plus à la vie. Et pourquoi en aurait-il été autrement ? La vie ne tenait plus à eux.

Victoria Hislop