Citation de Jean-Raymond Boudou

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Tous les pays se ressemblent. Tous les amours sont une invitation au voyage. Ce sont les voyages seuls qui diffèrent.... - Jean-Raymond Boudou

Tous les pays se ressemblent. Tous les amours sont une invitation au voyage. Ce sont les voyages seuls qui diffèrent.

Jean-Raymond Boudou

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Rien n'est moins spectaculaire qu'un fléau et, par leur durée même, les grands malheurs sont monotones.

Albert Camus

Lucas cueille un baiser sur le sein d'Egérie, - Qui toujours s'en offense et s'apaise toujours. - Mais sa rougeur lui reste et la rend plus jolie.

Antoine Bertin

La mort n'est pas une fin. C'est un commencement. Elle est à l'origine de toute chose : nous venons de la mort.

Carlos Fuentes

Ce Je, accusé justement d'impertinence dans beaucoup de cas, implique cependant une grande modestie ; il enferme l'écrivain dans les limites les plus strictes de la sincérité. En réduisant sa tâche, il la rend plus facile.

Charles Baudelaire

La prostitution est un phénomène masculin.

Françoise Giroud

Le doute sur l'amour finit par faire douter de tout.

Henri-Frédéric Amiel

Ce n'est point à produire des beautés, c'est à faire éviter les fautes, que les grands maîtres ont destiné les règles.

Jean Le Rond d'Alembert

Bon coeur peut quelquefois tenir lieu de bon sens.

Jean-Louis Aubert

Je t'enlacerai... Tu t'en lasseras.

Louise de Vilmorin

Votre histoire vous appartient, et elle vous appartiendra toujours. A vous de vous en emparer.

Michelle Obama

La liberté n'est rien quand tout le monde est libre.

Pierre Corneille

Aujourd'hui, le cinéma français est un peu comme ces nouvelles voitures. Vous avez remarqué ? Elles sont trop rondes, manquent de caractère.

Sophie Marceau

Tous les arts sont fondés sur un certain degré de fausseté.

Stendhal

Ta bouche, c'est le ciel même, mon âme veut s'y poser : puisse mon souffle suprême s'en aller dans ce baiser !

Victor Hugo

Jamais vingt volumes in-folio ne feront de révolution ; ce sont les petits livres portatifs à trente sous qui sont à craindre. Si l'Evangile avait coûté douze cents sesterces, jamais la religion chrétienne ne se serait établie.

Voltaire