Quand Nietzsche écrivait que la bonté des singes lui faisait douter que l'homme en eût pu descendre, il s'illusionnait sur les qualités de ces quadrumanes avides, cruels et lubriques. Ce sont bien les aïeux qu'il nous fallait.
Aussitôt notre tir se calme. Il n'y a que nos mitrailleuses ... qui continuent d'arroser le terrain.