Citation de Jean Royer

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L'amour cet inconnu Se fraie un chemin Depuis l'enfance des étoiles Et le ciel comme une main Réchauffe le coeur Des amants aveugles. L'a... - Jean Royer

L'amour cet inconnu Se fraie un chemin Depuis l'enfance des étoiles Et le ciel comme une main Réchauffe le coeur Des amants aveugles. L'amour porte le secret Des corps jusqu'à l'âme L'éternel présent Quand la pierre se délite Au fil de l'eau.

Jean Royer

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Je m'émeus du spectacle de la dégradation de l'homme par l'homme.

Alexis de Tocqueville

Le retard est la politesse des artistes.

André Maurois

Décidement la jouissance d'amour-propre d'un auteur a quelque chose de physique. Tous les traits s'épanouissent et toute la personne est atteinte d'une titillation voluptueuse.

Benjamin Constant

Le style seul fait vivre.

Charles-Augustin Sainte-Beuve

Si je pouvais me reposer n'importe où, ce serait en Arkansas, où les hommes sont de la vraie race mi-cheval, mi-alligator telle qu'elle ne pousse nulle part ailleurs sur la terre universelle.

Davy Crockett

Enfin, c'est un homme qui brûlerait sans hésitation le genre humain pour éviter un bobo à ma fille !

Gaston Leroux

Quelle belle invention que l'Ecole de Droit pour vous emmerder ! C'est à coup sûr la plus enkikinante ... de la création !

Gustave Flaubert

Pourquoi voudrais-je être Caton qui déchire ses entrailles, plutôt que César triomphant ?

Jean-Jacques Rousseau

En tant qu'acteur, on est au centre de la création, on est la chair.

Juliette Binoche

Le moment présent est créatif, créé avec une intensité inouïe.

Le Corbusier

Je me suis détestée pendant des années. J'ai mis du temps à m'accepter. Et le chemin est encore long.

Marion Cotillard

Les gens de gauche ne sont pas les représentants des pauvres, mais les délégués des idées pauvres.

Nicolás Gómez Dávila

Un chef-d'oeuvre ne lèche pas la main de son créateur.

Stanislaw Jerzy Lec

Le froid est un être subtil ; il mord, coupe, pénètre ou pique. Le chaud est une brute qui se contente d'assommer.

Sylvain Tesson

Chaque être aimé, en disparaissant, ravit un peu de chair, un peu de sang, à ceux qui restent sur la terre, tremblant de froid et de fadeur dans le crachin continu de l'absence.

Sylvie Germain