Citation de Jean Vautrin

Parfois, à force de remonter les sentiers abandonnés et de buter sur les vieilles souches de nos croyances, de grosses larmes ravinent... - Jean Vautrin

Parfois, à force de remonter les sentiers abandonnés et de buter sur les vieilles souches de nos croyances, de grosses larmes ravinent les joues du rescapé d'Auschwitz, et, douce comme une pluie d'automne, son angoisse me recouvre.

Jean Vautrin

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