Citation de Jimi Hendrix

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Le temps où j'ai brûlé ma guitare c'était comme un sacrifice. Vous sacrifiez les choses que vous aimez. J'aime ma guitare.... - Jimi Hendrix

Le temps où j'ai brûlé ma guitare c'était comme un sacrifice. Vous sacrifiez les choses que vous aimez. J'aime ma guitare.

Jimi Hendrix

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Il nous arrive à la fois des événements drôles, curieux, angoissants, voulus ou non. Chacun d'eux est une maille, mailles qui formeront la chaîne longue ou courte de notre vie.

François Beaulieu

On ne se rencontre qu'en se heurtant et chacun portant dans ses mains ses entrailles déchirées accuse l'autre qui ramasse les siennes.

Gustave Flaubert

Il nous faut autour de nous, des hommes qui pensent et qui parlent. Quand nous sommes seuls longtemps, nous peuplons le vide de fantômes.

Guy de Maupassant

Un mot lâché ne saurait revenir.

Horace

Elle fit serrer les portes et abbatre les grilles et les harses qui se fermoient à grosses serrures et fortes barrieres.

Jacques Amyot

Il n'est pas étonnant que la vérité soit plus étrangère que la fiction. La fiction doit avoir un sens.

Mark Twain

D'aimer ou de haïr il n'est en notre pouvoir. En ces matières la raison, du destin subit les foudres. De la passion, l'amant ne connaît d'autre devoir. L'amour ne naît-il pas toujours sur un coup de foudre ?

Martha Grimes

Offres d'emploi : pièges à bagnards !

Michel Audiard

Chaque passion parle un différent langage.

Nicolas Boileau

C'est toujours agréable d'être attendu et de ne pas arriver.

Oscar Wilde

L'argent va à l'argent.

Proverbe Français

Ce n'est ... ni en architecte, ni en jardinier, c'est en Poète et en Peintre qu'il faut composer des paysages.

René-Louis de Girardin

Nous surprenons la vie. La mort nous surprend en pleine surprise.

Salah Stétié

Pythagore nous apprend qu'il faut savoir supporter les défauts et les faiblesses de ses amis.

Samuel Johnson

Ma mère n'adorait rien tant que m'insulter ; elle proférait à mon égard des insanités terribles que les adultes réservent généralement aux adultes. (...) Quand elle m'abandonnait enfin à ma classe, à mes camarades, à ma maîtresse, ma mère continuait de grouiller dans ma tête, à la façon d'un mille-pattes.

Yann Moix