Je défends une position compliquée mais cohérente : comme citoyen, je suis intraitable sur le droit à l'outrance. Je veux vivre dans un pays où la liberté des uns n'est pas limitée par la croyance des autres. Les dessins venimeux, vaches, extrêmes, je ne saurais pas les faire, mais je suis heureux que ceux dont c'est le style puisse les réaliser.