Citation de Joël Egloff

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Avec un visage aussi commun que le mien, on ne passe pas inaperçu. Deux yeux, un nez, une bouche, ça rappelle forcément toujours quelqu'... - Joël Egloff

Avec un visage aussi commun que le mien, on ne passe pas inaperçu. Deux yeux, un nez, une bouche, ça rappelle forcément toujours quelqu'un à quelqu'un.

Joël Egloff

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Nous avons moins besoin d'adeptes actifs que d'adeptes bouleversés.

Antonin Artaud

Finalement je n'aime pas la sagesse. Elle imite trop la mort. Je préfère la folie - pas celle que l'on subit, mais celle avec laquelle on danse.

Christian Bobin

Vous voulez de l'aventure parce que vous vous ennuyez à mourir dans votre conformisme quotidien.

Christophe Ono-dit-Biot

A l'égard de la mort, j'oscille sans arrêt entre le "mystère" et le "rien du tout", entre les Pyramides et la Morgue.

Emil Cioran

Quand on est pris dans l'engrenage d'une pareille passion ou d'un pareil vice, il faut y passer tout entier.

Guy de Maupassant

Archias adonc commencea à se cholerer et à le menacer en courroux.

Jacques Amyot

L'envie avouée, c'est du courage, presqu'une excuse.

Jules Renard

Ce qu'on appelle le beau n'est d'ordinaire qu'une sublimation des réalités de la vie.

Junichiro Tanizaki

Je ne suis pas vraiment libre si je prive quelqu'un d'autre de sa liberté. L'opprimé et l'oppresseur sont tous deux dépossédés de leur humanité.

Nelson Mandela

Le christianisme est une religion exotique au pays du riz et du vin de palme puisque c'est la religion du pain et du vin de vigne.

Paul Valéry

Ce qu'ils attendent de nous, ce n'est pas un regret, mais un serment. Ce n'est pas un sanglot, mais un élan.

Pierre Brossolette

Mais pour nous, les heures, les jours et les mois n'étaient qu'un flux opaque qui transformait, toujours trop lentement, le futur en passé.

Primo Levi

L'arbre de la générosité porte sa cime jusqu'aux cieux. Quiconque veut goûter du fruit délicieux de cet arbre ne doit point, avec la faux de l'avarice, le couper par le pied.

Proverbe Persan

Je me permets rarement d'avoir une opinion sur quelqu'un ; j'ai toujours l'impression de fouiller dans le tiroir des sous-vêtements.

Stéphane Denis

Ecrire, c'est descendre dans la fosse du souffleur pour apprendre à écouter la langue respirer là où elle se tait, entre les mots, autour des mots, parfois au coeur des mots.

Sylvie Germain