Citation de Johann Wolfgang von Goethe

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Méprise bien la raison et la science, suprême force de l'humanité. Laisse-toi désarmer par les illusions et les prestiges... - Johann Wolfgang von Goethe

Méprise bien la raison et la science, suprême force de l'humanité. Laisse-toi désarmer par les illusions et les prestiges de l'esprit malin, et tu es à moi sans restriction.

Johann Wolfgang von Goethe

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L'être d'un être est de persévérer dans son être.

Baruch Spinoza

Je suis requis par la philosophie hindoue, dont le propos essentiel est de surmonter le moi ; et tout ce que je fais et tout ce que je pense n'est que moi et disgrâces du moi.

Emil Cioran

La femme a plus de sagesse qu'une oie ; quand il pleut, elle se met au sec sous un toit.

Jean Geiler de Kaysersberg

Le désert aime qu'on soit nu.

Jérôme de Stridon

Je suis persuadé que chez les femmes, l'amour survient plus souvent après le mariage qu'avant et, de ce fait, il me paraît à la fois naturel et bon qu'il en soit ainsi.

P. D. James

Qu'attend-on pour interdire la procréation des "vrais jumeaux". N'est-ce pas une forme - particulièrement efficace et sournoise - de clonage ?

Philippe Bouvard

La gastronomie - activité passive de ceux qui ne savent pas cuisiner - est un art. Mais il ne faut pas en faire un plat.

Philippe Bouvard

J'éprouve parfois des difficultés à utiliser mon intelligence intelligemment.

Philippe Geluck

Décidément, pensa Henri, à part me prêter sa femme, cet imbécile ne me sert strictement à rien.

Pierre Lemaitre

La fatalité, c'est ce que nous voulons.

Romain Rolland

C'est le propre de la nature humaine que de haïr celui qui a offensé.

Tacite

Enfant, ce que j'aimais dans les jouets, c'étaient les catalogues. Ils me faisaient rêver à ce que je n'aurai jamais.

Véronique Olmi

Si la nature s'appelle providence, la société doit s'appeler prévoyance.

Victor Hugo

Accepter de rendre heureux permet de le devenir soi-même.

Vincent Cespedes

L'homme qui a une langue, je le dis, n'est pas un homme, si, avec sa langue, il ne sait pas gagner une femme.

William Shakespeare