Citation de Jorge Luis Borges

← Précédent Suivant →
Les catholiques croient en un monde de l'au-delà, mais j'ai remarqué qu'ils ne s'y intéressent pas. C'est le contraire pour moi&nb... - Jorge Luis Borges

Les catholiques croient en un monde de l'au-delà, mais j'ai remarqué qu'ils ne s'y intéressent pas. C'est le contraire pour moi : ce monde m'intéresse, et je n'y crois pas.

Jorge Luis Borges

Toutes les citations de Jorge Luis Borges →

Explorer les Citations

Dans l'embrasure des fenêtres, la neige s'est accumulée en une couche inégale, très mince sur le bord de l'appui, plus épaisse vers le fond.

Alain Robbe-Grillet

Chuck Norris a trouvé tous les Pokemon avec un téléphone fixe.

Anonyme

Il y a des gens qui aiment mieux rester dans leurs défauts que de se donner la peine de les corriger.

Antoine Gombaud

Notre doctrine des équivoques, par laquelle il est permis d'user de termes ambigus, en les faisant entendre en un autre sens qu'on ne les entends soi-même.

Blaise Pascal

À quoi ça sert de déplacer des montagnes quand il est si simple de les escalader ?

Boris Vian

Un grand est bien mal avisé de monter sur des échasses.

Chrétien Guillaume de Malesherbes

L'homme qui lutte pour autrui est meilleur que celui qui lutte pour lui-même.

Clarence Darrow

Quelle est l'arithmétique du sentiment ? Un et un font un.

Diane de Beausacq

... l'injustice d'exister.

Emil Cioran

Il se sent esseulé dans une contrée inconnue, livré à des dangers qu'il ignore et auxquels il ne peut parer.

Hippolyte Taine

Méprise la vie pour en jouir.

Jean Paul

Quand on est sur le trône, on a bien d'autres soins ; - Et les remords sont ceux qui nous pèsent le moins.

Jean Racine

Il faut pleurer les hommes à leur naissance, et non pas à leur mort.

Montesquieu

Comme la verve du politicien, celle-là parfois mensongère, celle du poète à l'aube printanier inspire de pieux mensonges.

Roland Delisle

Que ne sait-il choisir ses gens ? La marche ordinaire du XIXe siècle est que, quand un être puissant et noble rencontre un homme de coeur, il le tue, l'exile, l'emprisonne ou l'humilie tellement, que l'autre a la sottise d'en mourir de douleur.

Stendhal