Après les fleurs factices singeant les véritables fleurs, il voulait des fleurs naturelles imitant des fleurs fausses.
Joris-Karl Huysmans
La vie n'est supportable que lorsque le corps et l'âme vivent en parfaite harmonie, qu'il existe un équilibre naturel entre eux, et qu'ils ont, l'un pour l'autre, un respect réciproque.
D. H. Lawrence
De nos jours un individu n'a pas de valeur en soi mais par rapport à l'Etat.
Ernst Jünger
Les Ecossais n'aiment pas jouer aux cartes parce qu'il faut les donner.
Guy-Guy Bouzoune
La durée vécue par notre conscience est une durée au rythme déterminé, bien différente de ce temps dont parle le physicien et qui peut emmagasiner, dans un intervalle donné, un nombre aussi grand qu'on voudra de phénomènes.
Henri Bergson
Les femmes fidèles sont celles qui attendent du printemps, des lectures, des parfums, des tremblements de terre, les révélations que les autres demandent aux amants.
Jean Giraudoux
Le Français sera sûr de lui parce qu'il est convaincu de la séduction irrésistible, tant intellectuelle que physique qu'il exerce sur tous, hommes et femmes.
Léon Tolstoï
Les faibles sont plus susceptibles de rendre les forts faibles que les forts sont susceptibles de rendre les faibles forts.
Marlene Dietrich
Chopin, frère du gouffre, amant des nuits tragiques, - Ame qui fut si grande en un si frêle corps.
Maurice Rollinat
Un poète mort n'écrit plus. D'où l'importance de rester vivant.
Michel Houellebecq
Le lyrisme est le développement d'une protestation.
Paul Éluard
Je ne puis souffrir cette expression à deux têtes, que l'autorité de son auteur a fait croire bonne : Esprit de géométrie, esprit de finesse, et qui est détestable.
Paul Valéry
Que les fachos se le disent : un boxeur de gauche peut avoir une droite redoutable...
Philippe Geluck
Un moment de patience peut préserver de grands malheurs, un moment d'impatience, détruire toute une vie.
Proverbe Chinois
Ecoute les conseils de tous et prends celui qui te convient.
Proverbe Français
Il suffisait de me taire, c'est vrai, et tout continuait. Vous me demandez ce qui me force à parler ? une drôle de chose, ma conscience.
Victor Hugo