Peut-être dans le domaine de la religion, comme dans celui de l'amour, est-il inévitable de recourir à des termes vagues : tout y est vrai, pourvu qu'on y croie.
José Cabanis
Mes chers amis, quand je mourrai, plantez un saule au cimetière. J'aime son feuillage éploré ; la pâleur m'en est douce et chère, et son ombre sera légère à la terre où je dormirai.
Alfred de Musset
La vie c'est comme un petit orteil ; on ignore son existence jusqu'au jour où ça cogne quelque chose.
Benoît Gagnon
Plus les choses sont dures, plus on leur donne des noms faibles.
Christian Bobin
Les mythes signifient l'esprit qui les élabore au moyen du monde dont il fait lui-même partie.
Claude Lévi-Strauss
Je crois vraiment que si vous privilégiez un bon soin de la peau, vous n'aurez vraiment pas besoin de beaucoup de maquillage.
Demi Moore
Nous aimons dans un très jeune homme ce que jamais on ne verra deux fois.
François Mauriac
Aux Etats-Unis, t'as rien besoin de savoir : y a des appareils distributeurs qui pensent pour toi.
Frédéric Dard
Souvent, j'ai accompli de délicieux voyages, embarqué sur un mot dans les abîmes du passé, comme l'insecte qui posé sur quelque brin d'herbe flotte au gré d'un fleuve.
Honoré de Balzac
Il semble que ce soit le sort inévitable de l'homme de ne pouvoir être libre nulle part.
Jean-Paul Marat
Les sophistes n'estiment pas Fénelon, parce qu'ils ne le trouvent pas assez philosophe ; et moi j'aime mieux un auteur qui me donne un beau sentiment, qu'un recueil de pensées subtiles.
Luc de Clapiers
Ce n'est pas l'esprit qui fait les opinions, c'est le coeur.
Montesquieu
Et si la foi n'était qu'une forme très particulière de l'aliénation mentale ?
Philippe Bouvard
Il y a un proverbe chinois qui ne dit rien. Il m'arrive de le citer quand je n'ai rien à dire...
Philippe Geluck
Le tranchant aigu d'une lame fait une vive blessure ; les mauvaises paroles causent une blessure plus difficile encore à cicatriser.
Proverbe Chinois
La vie doit être vécue en regardant vers l'avenir, mais elle ne peut être comprise qu'en se retournant vers le passé.
Søren Kierkegaard