Citation de José Manuel Fajardo

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L'essentiel est de se laisser aller, de se fier à ses mains et à sa bouche, tout goûter, tout apprécier, comme la vie. Pour que... - José Manuel Fajardo

L'essentiel est de se laisser aller, de se fier à ses mains et à sa bouche, tout goûter, tout apprécier, comme la vie. Pour que les choses soient toujours à point.

José Manuel Fajardo

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Je souffre que l'Esprit ne soit pas dans la vie et que la vie ne soit pas dans l'Esprit...

Antonin Artaud

Le rythme du labeur se plie à la convenance du vin qui n'est ni hâte, ni brutalité.

Colette

L'âme de la cité n'est rien d'autre que la constitution, qui a le même pouvoir que dans le corps la pensée.

Isocrate

L'habitude de penser en donne la facilité ; elle nous rend plus pénétrants et plus prompts à tout voir. Nos organes, comme nos membres, acquièrent par l'exercice plus de mobilité, de force et de souplesse.

Joseph Joubert

Je t'aime, toi, je ne pense qu'à toi. Je n'ai besoin que de toi. Je ne sais pas ce que je deviendrais, s'il me fallait vivre maintenant sans toi, je crois que je ne vivrais pas.

Juliette Drouet

C'est peut-être des premières impressions qui ont frappé nos organes que dépend la tournure de notre caractère.

Lezay-Marnésia

L'enfer existe. Il est la part du plus grand nombre.

Louis Aragon

Les grands ne sont généralement grands que par notre petitesse.

Louis-Charles Fougeret de Monbron

Les grands et les petits Ont pris chacun leur route Qui mène au paradis.

Marie Noël

Les si sont la marque des perdants. Dans la vie, on devient grand malgré.

Massimo Gramellini

Une amitié acquise, c'est une servitude ; perdue, c'est un deuil.

Paul-Jean Toulet

C'est à la Saint-Antonin, - Que vend son vin le malin.

Proverbe Français

Je suis au-dessus de tes menaces, car je porte en moi la vérité vivante.

Sophocle

Il est peu d'amis qui ne souffrent un conseil ; il n'en est point qui ne rejettent la censure.

Stanislas Leszczinski

La vie n'est qu'une longue perte de tout ce qu'on aime. On laisse derrière soi une traînée de douleurs. Le destin nous ahurit par une prolixité de souffrances insupportables. Après cela, on s'étonne que les vieilles gens rabâchent.

Victor Hugo