Citation de Joseph Joubert

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Il vaut mieux s'occuper de l'être que du néant. Songe donc à ce qui te reste, plutôt qu'à ce que tu n'as plus.... - Joseph Joubert

Il vaut mieux s'occuper de l'être que du néant. Songe donc à ce qui te reste, plutôt qu'à ce que tu n'as plus.

Joseph Joubert

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Un mot d'encouragement est parfois aussi précieux qu'un bandage.

Aharon Appelfeld

Un disciple suffit au maître. Une oreille suffit au mot juste. Une aube suffit au soleil pour illuminer le monde.

Anonyme

La femme est fatalement suggestive ; elle vit d'une autre vie que la sienne propre, elle vit spirituellement dans les imaginations.

Charles Baudelaire

Je voulais que l'amour puisse vaincre toutes les difficultés. Mais, seul, l'amour ne peut rien. C'est à nous qu'il incombe de surmonter les obstacles.

David Levithan

L'éducation d'un peuple se juge avant tout d'après son comportement dans la rue. Là où tu rencontreras la grossièreté dans les rues, tu la rencontreras aussi dans les maisons.

Edmondo De Amicis

Les romans sont surtout un aliment empoisonné servi aux curiosités malsaines de la foule.

Emile Zola

Ton ami est l'égal du vin le plus vieux de ta cave : Prends-le sagement, lève le verre doucement.

Fidel Ramos

La politesse est le devoir réciproque à l'égard du sexe qui embellit la vie.

George Sand

Nous restons bien davantage le produit de notre éducation ou de notre milieu que nous ne devenons l'être de nos désirs...

Hélène Ouvrard

Sa tête, grosse et carrée, avait pour principal trait caractéristique une énorme et abondante chevelure noire.

Honoré de Balzac

Ceulx qui avoient de revenu la valeur de cinq cents minots de bled et au dessus.

Jacques Amyot

Un coup de jus, mon vieux birbe et une croûte de brignolet.

Joris-Karl Huysmans

On ne peut pas vivre le doigt perpétuellement sur son pouls.

Joseph Conrad

Un actionnaire est toujours bénéficiaire de l'action d'autrui.

Robert Sabatier

Quand on décrit le présent du Brésil, c'est déjà, sans le savoir, du passé qu'on parle. C'est seulement en ayant déjà son avenir en vue qu'on lui donne son véritable sens.

Stefan Zweig