Citation de Jules Lemaître

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Une éloquence et une poésie d'Asiatique, Des états d'âme indescriptible, incalculable. C'est de la poésie comme l'or est un métal pré... - Jules Lemaître

Une éloquence et une poésie d'Asiatique, Des états d'âme indescriptible, incalculable. C'est de la poésie comme l'or est un métal précieux : par convention.

Jules Lemaître

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Epuisés par le jeûne, se roulant sur un lit d'épines, les anachorètes se sentaient percés jusqu'aux moelles des aiguillons du désir charnel.

Anatole France

Quiconque se bat pour gagner un prix est un modéré dans tout ce qu'il fait.

Bible

On trouve toujours une femme sur le chemin du ciel ou sur celui de l'enfer.

Charles Dollfus

Eraste est amoureux de toi. - Comme un perdu.

Dancourt

On ne perd pas si facilement une longue habitude surtout lorsqu'elle est vicieuse.

François Beaulieu

Il n'y en avoit point que nous luy puissions plus raisonnablement apparier que Eumenes.

Jacques Amyot

Ne gaspillez pas vos bulletins de vote. Un bulletin, c'est comme une balle. Ne votez pas tant que vous n'apercevez pas de cible et si la cible est hors d'atteinte, gardez votre bulletin en poche.

Malcolm X

Garde ta tête haute et ton majeur encore plus haut.

Megan Fox

Allié ne veut pas dire rallié.

Nicolas Sarkozy

Depuis que j'écris ces pages, je me dis qu'il y a un moyen justement de lutter contre l'oubli. C'est d'aller dans certaines zones de Paris où vous n'êtes pas retourné depuis 30, 40 ans, et d'y rester un après-midi, comme si vous faisiez le guet.

Patrick Modiano

C'est en mourant que l'amour et la fleur du prunier répandent leur plus douce odeur.

Paul-Jean Toulet

Bien sûr, Kill Bill est un film violent. Mais c'est un film de Tarantino.

Quentin Tarantino

Quand deux petits chiens vous fêtent au matin, la nuit prend la saveur de l'attente.

Sylvain Tesson

Entre la haine et l'admiration presque tous les hommes se détruisent.

Thomas Bernhard

Le temps avait passé. Cependant, ne s'écoulait-il pas différemment pour chacun, en empruntant des voies diverses ? Pareil à un fleuve, le temps pour l'homme parfois s'écoulait rapidement, parfois selon un rythme plus lent. Il lui arrivait aussi de ne plus s'écouler du tout et de rester là à stagner.

Yasunari Kawabata