Citation de Jules Renard

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Les autres développent en nous surtout le mauvais instinct de la propriété ; il suffit d'être un instant chez eux pour vouloir aus... - Jules Renard

Les autres développent en nous surtout le mauvais instinct de la propriété ; il suffit d'être un instant chez eux pour vouloir aussitôt être chez soi.

Jules Renard

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Flemmartiste : virtuose de l'indolence, génie du farniente.

Alain Finkielkraut

J'ai peur j'ai crû que c'était mon banquier (...). Ah vous êtes banquier !

André Manoukian

Jouis du moment présent. Aujourd'hui fait partie du bon vieux temps dont tu seras nostalgique un jour.

Anonyme

J'ai embrassé ma première fille et fumé ma première cigarette le même jour. Depuis lors, je n'ai plus assez de temps pour le tabac.

Arturo Toscanini

Je suis double ; quelquefois une partie de moi rit quand l'autre pleure.

Ernest Renan

Nous souffrons par les rêves. Nous guérissons par les rêves.

Gaston Bachelard

Je ne suis pas tout à fait sûr de la satiété du mariage.

George Clooney

Aussi appelloit on communement, par maniere de mocquerie, Catons, ceulx que l'on voyoit graves et severes en paroles et en faict desordonnez et vicieux.

Jacques Amyot

C'est très difficile de penser qu'on va refaire le monde si on ne commence pas par se refaire soi-même.

Jacques Languirand

C'est une journée machinale comme seule l'usine sait en produire.

Joseph Ponthus

Un cadeau, c'est quelque chose de rare qu'on te donne comme ça sans raison parce que tu le mérites sans le savoir.

Maud Lethielleux

Il y a sûrement beaucoup de honte à être heureux, non pas à la vue de certaines misères mais lorsque le bonheur semble narguer. Ce défaut les Kabyles ne l'ont pas. Par pudeur le riche se cache pour bien manger et le pauvre pour avoir faim à son aise.

Mouloud Feraoun

Je ne vous dirai pas : changez de caractère ; Car on n'en change point, je ne le sais que trop. Chassez le naturel, il revient au galop.

Philippe Néricault Destouches

Les femmes n'ont d'idées qu'en amour.

Pierre Baillargeon

Ce grand coeur qui paraît au discours que tu tiens.

Pierre Corneille