Citation de Jules Renard

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Je ne connais qu'une vérité : le travail seul fait le bonheur. Je ne suis sûr que de celle-là, et je l'oublie tout le temps.... - Jules Renard

Je ne connais qu'une vérité : le travail seul fait le bonheur. Je ne suis sûr que de celle-là, et je l'oublie tout le temps.

Jules Renard

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Comme le dit Sénèque : Les petits maux sont loquaces, mais les grandes peines sont muettes.

Annie Barrows

Une civilisation se fonde d'abord dans la substance. Elle est d'abord, dans l'homme, désir aveugle d'une certaine chaleur. L'homme ensuite, d'erreur en erreur, trouve le chemin qui conduit au feu.

Antoine de Saint-Exupéry

Il faut remettre une fois par an son avenir en jeu.

Arthur Cravan

Ce qui est entre la pomme et l'assiette se peint aussi. Et ma foi, il me paraît aussi difficile de peindre l'entre-deux que la chose.

Georges Braque

Pâtir rend le bon sens au sot.

Hésiode

Toute attention prêtée à une chose extérieure, trouble ou altère l'intérieur.

Jean Grenier

Le plus grand danger des autoroutes de l'information, une fois de plus, ça sera pour les hérissons de l'information...

Jean-Marie Gourio

Une fois que vous avez compris qui vous êtes et ce que vous attendez de vous-même, je pense que tout se met bien en place.

Jennifer Aniston

La France est un travesti. Ceux qui gouvernent ne sont pas visibles et ceux qui sont visibles ne gouvernent pas.

Marcel Jullian

Ne vous lamentez pas si la vie est injuste envers vous. Il n'y a pas de justice.

Nuala O'Faolain

C'est à partir de toi que j'ai dit oui au monde.

Paul Éluard

Tout individu est achetable. Il ne faut que savoir dans quelle monnaie.

Pierre Hamp

Le christianisme n'enseigne que la simplicité, l'humanité, la charité ; vouloir le réduire à la métaphysique, c'est en faire une source d'erreurs.

Voltaire

Dans ces deux patries de la vertu, tous les citoyens sont égaux, toutes les consciences sont libres, toutes les religions sont bonnes, pourvu qu'on adore un Dieu ; tous les hommes y sont frères.

Voltaire

J'étais maintenant un fugitif. Les gens de la ville croient qu'il est romantique d'avoir la loi à ses trousses, ils ne connaissent pas le prix à payer pour être libre. C'est une somme dont il faut s'acquitter au quotidien, parce que chaque jour qui se lève voit renaître les mêmes préoccupations.

Xavier Mauméjean