Pelléas et Mélisande, musique de Claude Debussy. Et cette succession de notes ! C'est le bruit du vent. J'aime mieux le vent.
Jules Renard
Beaucoup se sont jetés dans la Tamise pour ne pas avoir joué atout.
Alphonse Esquiros
L'ignorance, ce n'est pas tant quand vous ne savez pas quelque chose que quand quelqu'un s'en aperçoit.
Anonyme
La distance rend toute chose infiniment plus précieuse.
Arthur C. Clarke
C'est facile d'être audacieux dans ce pays ; il n'y a qu'à dire ce que tout le monde peut voir en s'en donnant la peine.
Boris Vian
Le motif est quelque chose de secondaire, ce que je veux reproduire, c'est ce qu'il y a entre le motif et moi.
Claude Monet
A quoi bon revenir là-dessus. Dans la vie, tu perds une chose, tu en prends une autre.
Douglas Kennedy
L'occasion a tous ses cheveux au front : quand elle est outre passée, vous ne la pouvez plus révoquer ; elle est chauve par le derrière de la tête, et jamais plus ne retourne.
François Rabelais
Il me semble moins juste et moins souhaitable de détruire ce qui ne devrait pas exister - autrement dit ce que vous appelez, vous, le mal - que de transformer le mal en ce que vous appelez le bien.
Isaac Asimov
Theseus soubleva facilement la pierre, et print ce qui estoit dessoubs.
Jacques Amyot
Tout ce qui est techniquement faisable et économiquement exploitable doit être mis en oeuvre sans détour préalable par la discussion.
Jürgen Habermas
Vivre d'erreurs et de parfums.
Paul Éluard
Une page ne devient blanche que lorsqu'on l'a écrite.
Pierre Turgeon
L'amour apprend aux ânes à danser.
Proverbe Français
Dans les écoles soviétiques, on nous enseignait que l'homme est foncièrement bon. Qu'il est magnifique. Aujourd'hui encore ma mère croit que ce sont les circonstances horribles qui nous rendent horribles. Mais que l'homme est bon. Mais ce n'est pas vrai... Non ce n'est pas vrai ! Toute sa vie, l'homme est ballotté entre le bien et le mal.
Svetlana Aleksievitch
Ce n'est pas toujours par une métaphore qu'on s'exprime spirituellement : c'est par un tour nouveau ; c'est en laissant deviner sans peine une partie de sa pensée : c'est ce qu'on appelle finesse, délicatesse.
Voltaire