Citation de Jules Renard

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Le matin, chaque grande herbe porte une toile d'araignée comme une petite voile. Le soleil paraît, et tout sombre.... - Jules Renard

Le matin, chaque grande herbe porte une toile d'araignée comme une petite voile. Le soleil paraît, et tout sombre.

Jules Renard

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Kinésithérapeute, endocrinologie, oto-rhino : je restais bouche bée devant l'hermétisme. Je revenais consulter Pierrot qui, pas plus que moi, connaissait tous ces mots à la con... On va quand même pas acheter un dico ?

Bertrand Blier

Arrêter d'apprendre, c'est arrêter de vivre.

Daniel Desbiens

Un couteau sans lame auquel manque le manche.

Georg Christoph Lichtenberg

Le premier homme devait voir des présages partout, il devait frissonner à chaque pas.

Giorgio De Chirico

Elle est incapable de résoudre le bordel de sa propre vie, mais elle sait aider les autres même si elle est un peu trop jolie pour une psy.

Guillaume Musso

Les rois sont de pauvres bougres qui n'ont le loisir d'être honnête homme qu'une fois sur deux.

Jean Anouilh

C'était une espèce d'intuition. Les femmes qui ont été abandonnées et qui souffrent d'un chagrin d'amour ont besoin, pour les apaiser, d'une certaine forme virile de la tendresse. Où trouver cette tendresse mieux que chez un père ?

Jean Dutourd

Il y a un moment de la misère où l'esprit n'est plus déjà tout le temps avec le corps. Il s'y trouve vraiment trop mal. C'est déjà presque une âme qui vous parle.

Louis-Ferdinand Céline

A-t-on jamais vu deux caïmans dans la même mare ? Deux hippopotames mâles dans la même rivière ?

Massa Makan Diabaté

Espérons l'impossible, car c'est peut-être une bassesse que de mettre son espoir en lieu sûr.

Natalie Clifford Barney

Jamais un envieux ne pardonne au mérite.

Pierre Corneille

Quand les choses se corsent, les durs prennent une pause-café.

Stephen Hawking

Perdu entre qui j'suis, qui j'veux être, et comment vous m'voyez, mec j'suis pas schizophrène, mais j'vous ordonne de m'vouvoyer.

Vald

O amour ! adorations ! volupté de deux esprits qui se comprennent, de deux coeurs qui s'échangent, de deux regards qui se pénètrent !

Victor Hugo

J'abolis les faux dieux.

Voltaire