Citation de Julie Bonnie

← Précédent Suivant →
Oui, vivre dans le printemps, c'est être toujours rayonnant, lumineux, expressif, c'est faire jaillir de soi la vie pour pouvoir enfin... - Julie Bonnie

Oui, vivre dans le printemps, c'est être toujours rayonnant, lumineux, expressif, c'est faire jaillir de soi la vie pour pouvoir enfin arroser, abreuver, fertiliser toutes les créatures.

Julie Bonnie

Toutes les citations de Julie Bonnie →

Explorer les Citations

La violence, c'est quand même terriblement graphique. Il y a dedans une énergie cinégénique incroyable. On entre dans le domaine de la métaphore, du symbole.

Abel Ferrara

L'amour stimule l'esprit quand il n'atteint pas son objet.

Alexis Carrel

L'amour, ce n'est pas l'amour. Et la conscience sert d'un agent réitérateur de cette vérité que nous tentons vainement de cacher.

Alix N.

Nous quatre, ici, maintenant, dans cette Clio pourrie, libérés, ensemble, et que vogue la galère...

Anna Gavalda

On peut juger le coeur d'un homme par son traitement des animaux.

Emmanuel Kant

Comment croire à Dieu qui, depuis le temps, n'a même pas le téléphone ?

Jacques Sternberg

Jamais on ne corrompt le peuple, mais souvent on le trompe.

Jean-Jacques Rousseau

Dormir seule, on arrive à s'y faire. Mais seule devant une assiette, c'est toujours un mauvais moment à passer.

Jovette Bernier

Il faut avoir tout ce que vous avez toujours voulu, puis le perdre, pour savoir ce qu'est la vraie liberté.

Lana Del Rey

Être né avec une paire d'yeux perçants a été la meilleure chose qui me soit arrivée.

Lee Van Cleef

Je plains les gens petits : ils sont les derniers à savoir quand il pleut.

Peter Ustinov

Tout pourquoi a son parce que. (Tout peut servir si l'on y pense.)

Proverbe Anglais

La maladie est le prix que l'âme paie pour l'occupation du corps, comme un locataire paie un loyer pour l'appartement qu'il habite.

Râmakrishna

Le moi est haïssable. Le mois double est agréable.

Yvan Audouard

Chaque fois qu'on croit être enfin arrivé à joindre les deux bouts, un mauvais plaisant déplace l'un des bouts.

Yves Mirande