Citation de Julien Green

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Il y a quelque chose de terrible dans ces existences de province où rien ne paraît changer quelles que soient les profondes modificatio... - Julien Green

Il y a quelque chose de terrible dans ces existences de province où rien ne paraît changer quelles que soient les profondes modifications de l'âme.

Julien Green

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Je crois que le but de la vie est de glorifier Dieu.

Al Gore

Une femme, c'est une partie de plaisir ! Ne pourrait-on pas dire, quand on en rencontre une : voilà une belle nuit qui passe ?

Alfred de Musset

La plupart des golfeurs se préparent au désastre. Les bons golfeurs se préparent pour réussir.

Bob Toski

C'était mon effort, en dépeignant l'Occident, pour le dépeindre tel qu'il était.

Buffalo Bill

Les hommes sont gouvernés par leurs sens avant de connaître leur coeur.

Charles Pinot Duclos

Lorsque les hommes commencent à se sentir à l'étroit dans leurs espaces géographique, social et mental, une solution simple risque de les séduire : celle qui consiste à refuser la qualité humaine à une partie de l'espèce.

Claude Lévi-Strauss

Dans tout malheur qui atteint notre prochain, il y a toujours quelque chose de réjouissant pour nous.

Fiodor Dostoïevski

On ne peut vaincre sa destinée.

Jean Racine

Je suis croyante, moi. N'allez pas me prendre pour une exaltée, une mystique.

Julien Green

Certains mariages secrètent un ennui si doux qu'il en devient anesthésiant. On reste parce qu'on n'a pas la force ni l'énergie de partir.

Katherine Pancol

La vertu ne peut faire le bonheur des méchants.

Luc de Clapiers

Dieu dit : Voici que l'homme est devenu comme l'un de nous, par la connaissance du bien et du mal.

Moïse

Enchemisé dans les violences de sa nuit, le corps de notre vie est pointillé d'une infinité de parcelles lumineuses coûteuses. Ah ! quel sérail.

René Char

On ne peut connaître son caractère et surtout l'influence qu'on a sur lui, qu'autant qu'on a passé par beaucoup d'alternatives de joie et de malheur.

Stendhal

Le siècle de Louis XV est une orgie de taverne, où la démence s'accouple au vice.

Victor Hugo