Citation de Julien Offray de La Mettrie

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Savez-vous pourquoi je fais encore quelque cas des hommes ? C'est que je les crois sérieusement des machines.... - Julien Offray de La Mettrie

Savez-vous pourquoi je fais encore quelque cas des hommes ? C'est que je les crois sérieusement des machines.

Julien Offray de La Mettrie

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(En parlant de l'amour) - C'est le genre de maladies qui n'épargnent ni les intelligents ni les imbéciles.

Albert Camus

Tu m'aimes comme on rêve. Moi, je t'aime comme on crève.

Anonyme

Le délire fausse la perception ; la folie fausse la pensée.

Arthur Schopenhauer

On a tiré le gros lot. Je suis très content pour les supporters qui vont se rendre dans l'antre de Manchester.

Dominique Rocheteau

La chose publique n'est compliquée que pour ceux que ça arrange.

Etienne Davodeau

L'amitié a besoin d'un fondement plus solide que les attraits passagers des grâces et de la beauté.

Geneviève Thiroux d'Arconville

Mais le moindre ducaton Serait bien mieux mon affaire.

Jean de La Fontaine

L'amour est une forme de vie qui unit connaître et vouloir.

Jean Guitton

Les critiques, les sarcasmes, les injures même tombèrent sur lui de toutes parts.

Jean Le Rond d'Alembert

Les femmes aiment beaucoup qu'on les appelle cruelles.

Pierre-Augustin Caron

Chat qui miaule beaucoup chasse peu.

Proverbe Portugais

L'amitié c'est aussi comprendre puis respecter le goût des autres.

Robert Gurik

Sculpture monumentale : un groupe de consommateurs, main en l'air, réclamant l'addition.

Roland Topor

Les bandes dessinées sont des histoires ; ils sont comme des romans ou n'importe quoi d'autre. Donc, la première chose à faire est de devenir un bon conteur.

Stan Lee

La peinture n'est que de la morale construite.

Stendhal