Il faut demander au ciel la santé de l'esprit et du corps.
Juvénal
L'impulsion du voyage est l'un des plus encourageants symptômes de la vie.
Agnes Repplier
Dans une classe, l'enseignant s'attend à être écouté. L'élève aussi.
Ernst Abbe
Des êtres contraints de se toucher si souvent développent-ils une tendresse et une douceur au-dessus de la moyenne ? Serions-nous plus doux les uns envers les autres si nous nous touchions plus souvent ?
Gauz
Les hommes et les femmes sont au moins d'accord sur un point : ils n'ont aucune confiance dans les femmes.
H. L. Mencken
Je vais appliquer ce que j'ai toujours fait au travail, avec les valeurs qui sont les miennes, et dans le cadre des orientations fixées par le président de la République.
Jean Castex
La conservation des monuments du passé n'est pas une simple question de convenance ou de sentiment. Nous n'avons pas le droit d'y toucher. Ils ne nous appartiennent pas.
John Ruskin
Ah ! tu m'aimes, je t'aime ! - Que la mort ne nous ait qu'ivres-morts de nous-mêmes !
Jules Laforgue
Les peuples heureux n'ont pas de sociologie, mais ils ont des moeurs, des institutions et des lois.
Jules Monnerot
La critique ne doit pas s'écrire : on la parle. A quoi bon écrire ce qui est fait ? Seule, l'oeuvre d'art se fait plume en main.
Jules Renard
Connaître les autres, c'est sagesse. Se connaître soi-même, c'est sagesse supérieure. - Imposer sa volonté aux autres, c'est force. Se l'imposer à soi-même, c'est force supérieure.
Lao Tseu
S'habiller propre, correct, en tout lieu et à toute heure, était une question de respect de soi et des autres, bref de dignité.
Louis-Philippe Dalembert
Sans cette putain d'amitié, je me sentirais seul sur la Terre, fou...
Nekfeu
Je ne crois pas en Dieu, j'abjure et je renie Toute pensée, et quant à la vieille ironie, L'amour, je voudrais bien qu'on ne m'en parlât plus.
Paul Verlaine
Il est bon de voir par le malheur d'autrui ce qu'on doit fuir.
Publilius Syrus
Au séminaire, il est une façon de manger un oeuf à la coque qui annonce les progrès faits dans la vie dévote.
Stendhal