Vous aimez quelqu'un ? Si vous aimez quelqu'un, et que cette personne exprime à l'évidence son désir de rompre, et que vous sachiez parfaitement que tout est fini - il faut laisser cette personne partir. Se faire cette fleur. La noblesse.
Katharine Hepburn
On se le dit et on y croit Que c'est pour la première fois A chaque fois, à chaque fois Chaque fois qu'on aime d'amour.
Barbara
Je suis en train de suivre la nature sans être capable de la saisir, je dois peut-être aux fleurs d'être devenu un peintre.
Claude Monet
Ci-gît, ma femme, grâce à Dieu ! - Cette furie perpétuelle - Empoisonna ma vie. - Passant, écoute mon avis : - Avant qu'elle ne te querelle, - Quitte prudemment ces lieux.
Épitaphe Anonymes
Tant de fois il a rêvé d'ailleurs, au fil des pages froissées dans de fiévreuses nuits dévalant des jours sans frissons.
Franck Bouysse
Protégez les animaux et recherchez leur amitié, car elle est plus sincère que celle de nos frères les hommes.
François-Joseph Amon d'Aby
Ce qui grandit encore la grandeur, n'est-ce pas l'outrage ?
Gustave Flaubert
Je vais défendre l'importance des histoires au coucher jusqu'à mon dernier souffle.
J. K. Rowling
Plus personne, ou presque, ne pense que voter peut changer significativement sa condition, a fortiori celle du monde.
Jacques Attali
Ces premières amours ne s'effacent jamais.
Jean-François Collin d'Harleville
Onze novembre ou pas 11 novembre, j'en ai rien à foutre, moi je ferme pour le défilé ! Vous boirez le 12 !
Jean-Marie Gourio
Notre être est notre richesse. Et notre être, c'est d'abord la fierté nationale, celle de notre passé.
Max Gallo
Nos actes nous suivent.
Paul Bourget
Il aimait ça, le Monopoly. Ça lui rappelait des souvenirs d'enfance, des parties interminables avec des cousins, quand il pleuvait, l'été, la banque n'en finissait pas de faire crédit.
Philippe Delerm
Le poisson rêve d'un ver à soi.
Sylvain Tesson
Pourquoi appellent-ils intelligence toutes les limites de toutes les règles, tous les interdits de tous les codes ? Enorme et gigantesque constipation de tous les cerveaux !
Wilfrid Lemoine