Citation de Katherine Pancol

← Précédent Suivant →
Aimer quelqu'un, c'est prendre le risque de recevoir une grande gifle dans le visage.... - Katherine Pancol

Aimer quelqu'un, c'est prendre le risque de recevoir une grande gifle dans le visage.

Katherine Pancol

Toutes les citations de Katherine Pancol →

Explorer les Citations

Vous ne vous attendez tout de même pas à ce qu'il s'échappe de cette cellule ? Ou alors, vous avez lu des romans aristotéliciens, ceux où le héros gagne à tous les coups ?

Alfred Elton van Vogt

Les obus et les décorations tombent au hasard sur le juste et l'injuste.

André Maurois

La Suisse, ça n'est pas si formidable : ôtez les montagnes, qu'est-ce qui reste ?

Anonyme

La fleur que tu as dans tes mains est née aujourd'hui et elle a déjà ton âge.

Antonio Porchia

Parfois la démocratie doit être baignée dans le sang.

Augusto Pinochet

Qu'espérer d'un amour pur sinon qu'il rende notre solitude pure ?

Christian Bobin

Le taxi s'arrêta, mais d'un coup de frein si brutal qu'un camion qui le suivait démolit son arrière.

Claude Aveline

Dieu n'existe pas. S'il existait, depuis le temps que je dis des horreurs, il m'aurait déjà foudroyé. Ou Dieu est un mythe, ou il est sourd, ou c'est du mépris.

Francis Blanche

Ma vie réelle, celle de mon âme, l'histoire de mes sentiments les plus secrets.

Jean-Jacques Rousseau

La consolation du vieillard, c'est de multiplier le plaisir qu'il prend par le dégoût qu'il inspire.

Maurice Chapelan

Aujourd'hui je suis une vieille maison que j'essaie de restaurer. J'ai encore des tuiles à mettre et des cheminées à changer.

Michel Serrault

Par la rue "Tout à l'heure", on arrive à la maison "Jamais".

Miguel de Cervantes

On dit pas Ille-et-vilaine, mais il est vilain !

Mots d'enfants

Je sais que j'aime mes enfants et je sais qu'ils m'aiment. Je sais que j'ai de beaux amis et une famille formidable et je sais que j'ai été vraiment bénie dans cette vie.

Patricia Arquette

Pleurer atteste de ce qu'un homme fait preuve du plus grand des courages, celui de souffrir.

Viktor Frankl