Citation de Kishida Toshiko

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S'il est vrai que les hommes sont meilleurs que les femmes parce qu'ils sont plus forts, alors pourquoi les lutteurs de Sumo ne sont... - Kishida Toshiko

S'il est vrai que les hommes sont meilleurs que les femmes parce qu'ils sont plus forts, alors pourquoi les lutteurs de Sumo ne sont-ils pas au gouvernement ?

Kishida Toshiko

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Dès qu'on s'aperçoit qu'un acteur veut à toute force vous faire rire, il cesse d'être comique, pour devenir risible.

André Birabeau

J'ai encore ton odeur sur la peau, c'est le plus beau des parfums !

Anonyme

Il n'est guère de château d'un entretien aussi dispendieux que les châteaux en Espagne.

Anonyme

On n'est jamais content de sa fortune ni mécontent de son esprit.

Antoinette Des Houlières

Ce qui m'éreinte, ce n'est pas tellement de tourner. Ce qui me fatigue, c'est tout ce qu'il y a autour.

Benoît Poelvoorde

Votre problème, c'est que vous envisagez la complexité comme le problème et non comme la solution.

Daniel Mendelsohn

Une chanson, c'est un poème qui a pris l'air.

Grégoire Lacroix

Et moi je suis dans ce lit cru - De chambre d'hôtel, fade chambre, - Seul, battu dans les vents bourrus - De novembre.

Jules Laforgue

Les hommes ne sont rien. Et ne laissent aucune trace.

Laurent Gaudé

Elle dit aussi que s'il n'y avait ni la mer ni l'amour personne n'écrirait des livres.

Marguerite Duras

La musique populaire a formé la bande sonore de ma vie.

Martin Scorsese

Puis j'étais entrée dans la quarantaine. Le jeu - le jeu de la séduction - occupait une place si centrale dans ma vie que j'avais de la peine à croire qu'il touchait à sa fin. Et, à l'approche de la cinquantaine, ç'avait été comme si les gradins se vidaient et que je me retrouvais seule au milieu d'une arène déserte.

Nuala O'Faolain

L'amour s'adresse à ce qui est caché dans son objet.

Paul Valéry

Comment les autres hommes peuvent-ils vivre sans toi ?

Sacha Guitry

Quand on n'est pas assez fortuné pour se payer le bonheur, il ne faut pas s'en approcher trop et le regarder... Non, non, ne regardons pas les étalages.

Tristan Bernard