Il vaut mieux être détesté pour ce que tu es, plutôt qu'être aimé pour ce que tu n'es pas.
Kurt Cobain
Il semble que les pensées les mieux adaptées à l'univers des choses soient celles qui sont inscrites dans les corps vivants sous forme d'instincts ou d'habitudes.
André Maurois
Dans un journal, l'article qui donne le plus à réfléchir est celui que votre femme a découpé avant que vous ayez pu le lire.
Anonyme
Je ne suis pas de ceux dont les sentiments s'altèrent dans l'absence et le silence...
Charles-Augustin Sainte-Beuve
Capitalisme : Gros mot pour économie de marché.
Christophe Alévêque
Un jour ce fusil partira tout seul et tu te feras sauter la cafetière.
Claude Simon
Le sentiment d'attente ne s'ajuste qu'au seul printemps. Avant lui, après lui nous escomptons la moisson, nous supputons la vendange, nous espérons le dégel. On n'attend pas l'été, il s'impose ; on redoute l'hiver.
Colette
Un peu moins de latin, beaucoup plus d'exercices corporels, et nous ferons des hommes.
Emile Zola
Les femmes savent bien à quoi s'en tenir sur ce qui fait le fond même de l'amour. Elles vantent les faiseurs d'odes et d'invocations : mais elles attirent et recherchent soigneusement les hommes bien portants et attentifs à leurs charmes.
Eugène Delacroix
Malheur à la nation qui ne se souvient plus de l'histoire de ses pères ! Son histoire à elle touche à sa fin.
Félix Bogaerts
Je ne me suis jamais préoccupé des étiquettes que les gens veulent vous mettre. Ce qui compte pour moi, c'est ma propre estimation.
Jean Dujardin
Pour gravir le Mont Everest on peut partir des embouteillages d'une banlieue parisienne ou de la verdoyante campagne népalaise : le but est le même mais les modalités du voyage sont différentes.
Jean-François Revel
J'aimerais faire plus de comédie, mais je pense que mon fort est toujours dans le lourd. J'adorerais faire une bande dessinée, une comédie musicale.
Lee Van Cleef
Votre histoire vous appartient, et elle vous appartiendra toujours. A vous de vous en emparer.
Michelle Obama
Les yeux de la luxure ont des joies secrètes.
Paul Éluard
Quand on regarde longuement un mort, on finit toujours par discerner d'imperceptibles mouvements sur son visage. Cette illusion doit tenir au fait que nous n'arrivons pas à nous résigner à son irrémédiable immobilité.
Robert Merle