Citation de Lauréanne Harvey

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La vie à deux est une merveilleuse expérience chimique, à condition de suivre sérieusement les réactions afin de ne pas rater le ré... - Lauréanne Harvey

La vie à deux est une merveilleuse expérience chimique, à condition de suivre sérieusement les réactions afin de ne pas rater le résultat.

Lauréanne Harvey

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Les bonheurs durables sont ceux qui reculent à mesure que nous avançons.

Alphonse Karr

Comme ils souffrent, les morts qu'on n'aime plus !

André Suarès

Mieux vaut une fin dans la douleur qu'une douleur sans fin.

Anonyme

Le fauteuil académique est un lit de repos où le bel esprit sommeille.

Bernard Le Bouyer de Fontenelle

Tout doit être fait avec passion.

Björk

Je suis étonné que des années après avoir arrêté de jouer au tennis, les gens me reconnaissent encore dans les restaurants et demandent mon autographe.

Bjorn Borg

Sûr de moi, donc aveugle.

François Taillandier

L'amour est libre il n'est jamais soumis au sort O Lou le mien est plus fort encor que la mort Un coeur le mien te suit dans ton voyage au Nord.

Guillaume Apollinaire

Il arriva en toilette des dimanches, mal à son aise dans cette atmosphère lugubre.

Gustave Flaubert

Et pourtant en acquit Marcellus encore de tant plus sa bonne grace et la faveur du commun populaire, pour avoir ainsi embelly et esgayé la ville de Rome des ingenieuses delices et elegantes voluptez des Grecs.

Jacques Amyot

Ecailler : Métier dont les horaires et les conditions de travail sont particulièrement difficiles, car il faut faire les trois huîtres et qu'en hiver sur le trottoir on doit se les cailler.

Marc Escayrol

Dans une nation qui est dans la servitude, on travaille plus à conserver qu'à acquérir. Dans une nation libre, on travaille plus pour acquérir qu'à conserver.

Montesquieu

Son antimilitarisme n'avait pas diminué. Il grondait sourdement chaque fois qu'il rencontrait un officier ou un soldat, un garde municipal, un sergent de ville ou un employé d'octroi.

Octave Mirbeau

Le jour où Antoine s'en va, je sais qu'il y a tout le reste de l'équipe derriére. Donc je ne peux pas partir.

Philippe Gildas

Une ville ne s'appréhende pas seulement avec les yeux et les oreilles. Non c'est d'abord avec le nez, ensuite avec l'estomac, et finalement avec les nerfs. Les plus fortes sensations sont olfactives.

Sándor Márai