Citation de Laurence Peyrin

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Je crois qu'on a besoin que quelqu'un nous connaisse. Nous reconnaisse. Ça nous rassure de vivre aussi dans le regard de l'autre...... - Laurence Peyrin

Je crois qu'on a besoin que quelqu'un nous connaisse. Nous reconnaisse. Ça nous rassure de vivre aussi dans le regard de l'autre... C'est la promesse de survivre à soi-même.

Laurence Peyrin

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Quand les draps ne sont pas froissés, les époux ne tardent pas à l'être.

Anonyme

Les gens n'ont pas besoin qu'on leur enseigne à regarder. Ils ont simplement besoin d'être protégés contre les écoles qui les rendent aveugles.

Anthony de Mello

Aussi es-tu sans excuses, qui que tu sois, toi qui juges. Car, en jugeant autrui, tu juges contre toi-même, puisque tu agis de même, toi qui juges.

Bible

Il est doux aux malades de savoir clairement d'avance ce qu'ils auront encore à souffrir.

Eschyle

Là où règne la liberté de penser, on se meut avec aisance dans son cercle, mais là où les pensées sont contraintes, même celles qui sont permises ne se présentent que timidement.

Georg Christoph Lichtenberg

L'Amour et le doute ne se parlent jamais.

Gibran Khalil Gibran

L'argent, c'est la couille des familles.

Henri Pichette

Les artistes sont très souvent des inconscients de génie.

Jean-Charles Harvey

Les drogues sont un défi à l'esprit.

Jim Morrison

Les aphorismes de Nietzsche, déclamés staccato : Ce qui est fait par amour se fait toujours par-delà le bien et le mal. Il n'y a pas de phénomènes moraux, seulement une interprétation morale des phénomènes.

Joyce Carol Oates

S'embêter, c'est s'insulter soi-même.

Jules Renard

Les principales manifestations sportives ont lieu pendant les examens.

Loi de Murphy

L'économie de marché n'a pas besoin d'apologistes ni de propagandistes. Si vous cherchez son monument, regardez autour de vous.

Ludwig von Mises

La femme ne s'exalte pas, comme l'homme, face à la mort. Parce qu'elle donne la vie, elle accepte aussi la mort.

Marc Gendron

Parce que, pour comprendre la violence, il faut la faire entrer en soi, et elle se répand doucement, elle infecte tout le système de pensée, elle colore les sentiments, teinte les fantasmes, c'est une vraie saloperie, vous comprenez ?

Maxime Chattam