Citation de Léon Bloy

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Les catholiques déshonorent leur Dieu, comme jamais les juifs et les plus fanatiques antichrétiens ne furent capables de le déshonorer.... - Léon Bloy

Les catholiques déshonorent leur Dieu, comme jamais les juifs et les plus fanatiques antichrétiens ne furent capables de le déshonorer.

Léon Bloy

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Vous pouvez passer une vie, et, si vous êtes honnête avec vous-même, jamais une fois votre travail était parfait.

Charlton Heston

Tout près de Paris, à vos pieds, promeneurs, cette rosace délicate, c'est le jeune pissenlit, et cette perle à son centre, c'est sa future fleur.

Colette

Que peux-tu savoir de toi tant que tu ne t'es pas retrouvé au milieu d'une bagarre ?

David Fincher

Même le temps n'est pas insensible à son propre passage.

David Mitchell

Toute guerre naît d'une prétention commune à la même propriété.

Denis Diderot

Une interrogation ruminée indéfiniment vous sape autant qu'une douleur sourde.

Emil Cioran

Assassin : Toujours lâche, même quand il a été intrépide et audacieux. Moins coupable qu'un incendiaire.

Gustave Flaubert

A l'adventure ne sera ce point trop mal arbitré ny jugé, si nous donnons au Grec la couronne de l'art militaire et au Romain celle de clemence ?

Jacques Amyot

J'ai aimé ces villas laides. Et pour aimer choses si laides Il faut aimer tendrement. Laideur, ma pauvre maîtresse, Je te plains, et je t'épouse Plus vite que la beauté.

Jean Cocteau

J'aime beaucoup regarder les visages des jeunes femmes. Ça m'amuse de deviner ce qu'elles seront, devenues vieilles.

Jules Renard

J'ai dit que la plupart d'entre eux font un enfant, non pas pour son plaisir, mais pour le leur.

Julien Benda

Oui, la chance joue un rôle dans les procès mais elle n'arrive que vers 3 heures du matin... Vous me verrez la chercher dans la bibliothèque à 3 heures du matin.

Louis Nizer

Le châtiment de l'incroyant, ce sera peut-être le pardon de Dieu.

Marcel Pagnol

On devrait se méfier davantage des promesses des hommes politiques puisqu'ils ne peuvent nous faire de cadeaux qu'avec ce qu'ils nous prennent.

Philippe Bouvard

Ce conte, il aurait pu simplement me le conter, il le savait par coeur, moi aussi, mais cela ne m'aurait pas calmé, il devait me le lire, soir après soir, ou faire semblant de me le lire, en tournant les pages et en m'expliquant les images.

Samuel Beckett