Citation de Léonora Miano

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Venir avec toi ? Et pour quoi faire ? Lorsque nous sommes nées, nous étions seules. Lorsque nous mourrons, on ne mettra pas... - Léonora Miano

Venir avec toi ? Et pour quoi faire ? Lorsque nous sommes nées, nous étions seules. Lorsque nous mourrons, on ne mettra pas dans un cercueil à deux places. On n'est jamais avec personne.

Léonora Miano

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Les bonheurs sont comme le gibier, quand on les vise de trop loin, on les manque.

Alphonse Karr

A Constantinople, il y avait, en marge de la collection du musée, une série de ces estimables faux qui, loin d'imiter des oeuvres authentiques, inventent un art.

André Malraux

Il n'y a pas que le bonheur qui rend heureux.

Annie Ernaux

Il faut autour de soi, pour exister, des réalités qui durent.

Antoine de Saint-Exupéry

Il n'y a qu'une seule vertu, la justice ; un seul devoir, de se rendre heureux ; un seul corollaire, mépriser quelquefois la vie.

Denis Diderot

Un rédacteur publicitaire, c'est un auteur d'aphorismes qui se vendent.

Frédéric Beigbeder

Tous les hommes sont à la fois pécheurs et saints quand ils ne sont pas criminels et martyrs.

Guillaume Apollinaire

Ceux qui se privent de l'amour sont bien récompensés de leur continence par les sensations qu'elle procure.

Honoré de Balzac

Un peu de morale ne gâte rien. C'est le sel de la vie pour nous autres, comme le vice pour les dévots.

Honoré de Balzac

C'était un grand vieillard très sec, droit comme un mât de vaisseau, qui tenait altièrement tête à la vieillesse.

Jules Barbey d'Aurevilly

Mieux vaut être illettré mais heureux et vivre une vie de plénitude, plutôt que d'être savant, bien placé dans la société, mais triste, inquiet, angoissé.

Julie Bonnie

La liberté de Montaigne a définitivement disparu, peut-être parce qu'on n'a plus guère le courage d'être seul et que l'absolue liberté intérieure, c'est l'absolue solitude

Régis Jauffret

... étranger, sur la terre étrangère, ...

Sophocle

Les arbres jettent l'or de leurs feuilles par les fenêtres de l'automne.

Sylvain Tesson

Habitants des bords de l'Aral : orphelins de leur mer.

Sylvain Tesson