Citation de Les frères Goncourt

← Précédent Suivant →
Dans une société, on reconnaît les gens élevés à une chose assez simple : ils vous parlent de ce qui vous intéresse.... - Les frères Goncourt

Dans une société, on reconnaît les gens élevés à une chose assez simple : ils vous parlent de ce qui vous intéresse.

Les frères Goncourt

Toutes les citations de Les frères Goncourt →

Explorer les Citations

En présence du ciel il faut croire ou nier.

Alfred de Musset

Les asperges ressemblent aux épigrammes en ce sens que c'est la pointe qui en fait le mérite.

Anonyme

Les joies de l'amour ne sauraient être comparées aux satisfactions de la haine assouvie.

Arsène Bessette

Comme on le sait, le dernier continent inconnu à l'homme est l'homme, et le centre de ce continent, le cerveau, nous est non seulement inconnu, mais encore incompréhensible.

Edgar Morin

Je ne sais pas très bien ce que c'est que le monde ; Mais je chante pour mon vallon, en souhaitant Que dans chaque vallon un coq en fasse autant.

Edmond Rostand

Quand vous avez ensemble des gens qui veulent plus d'emplois publics et des gens qui veulent moins d'impôts, je dis juste aux Français : on est en train de vous mentir et de vous manipuler.

Emmanuel Macron

Et là où l'amour n'existe pas, la raison, elle aussi, est absente.

Fiodor Dostoïevski

La noblesse de tout être pensant réside dans le pouvoir de se vaincre par la réflexion.

François Mauriac

La mort n'a peut-être pas plus de secrets à nous révéler que la vie ?

Gustave Flaubert

La seule arme qui m'intéresse, c'est le tire-bouchon.

Jean Carmet

De notre naissance à notre mort, nous sommes un cortège d'autres qui sont reliés par un fil ténu.

Jean Cocteau

Voyez un peu ce cou d'ivoire s'arrondir sur ces belles épaules.

Jean-François Marmontel

Les rides, les cicatrices, c'est la vie, tu la prends à pleins bras et tu en prends plein la gueule, mais c'est comme ça.

Pascal Garnier

On s'attend à tout, et on n'est jamais préparé à rien.

Sophie Swetchine

Il faut penser tout ce qu'il y a de pensable dans l'impensable.

Vladimir Jankélévitch