L'enfer c'est les autres, sauf que sans les autres t'es encore plus mal.
Lomepal
Nous devons apprendre aux enfants à vivre ensemble, dans un milieu sans compétition. C'est à travers la rencontre de l'autre que nous nous formons. Sinon, nous ne sommes qu'un vulgaire tas de protons et neutrons.
Albert Jacquard
On fait bouillir la graine, puis on la pile dans un mortier, avec le manche du pilon qui offre si peu de surface que la coque dure fuit de côté tandis que son enveloppe froissée se détache.
André Gide
Savoir craindre, c'est penser. Tenir, c'est faire front.
André Glucksmann
Un arbre, sans savoir où sont ses racines, grandira mal, tout comme pour l'Homme.
Anonyme
Nous avons commis la plus belle escroquerie du siècle : nous avons fait croire aux Français que nous étions de droite.
Charles Pasqua
Sur ce petit bout d'amour qui restait, il voulait vivre son futur comme un naufragé sur une île déserte.
David Foenkinos
Il avait, presque sans ralentir, jeter la voiture dans un chemin de traverse. Ils roulèrent encore un moment puis il freina brusquement et rangea l'auto au bout du chemin.
Jean-Paul Sartre
Les démocrates réels n'abandonnent guerre la classe moyenne.
John Kerry
Il y a une mesure pour tout : dès qu'on en sort, on la dépasse.
Jules Renard
La vie c'est une classe dont l'ennui est le pion, il est là tout le temps à vous épier d'ailleurs, il faut avoir l'air d'être occupé, coûte que coûte, à quelque chose de passionnant, autrement il arrive et vous bouffe le cerveau.
Louis-Ferdinand Céline
L'étincelle dans son regard est intacte, mais elle a comme un faux contact dans le sourire.
Mathias Malzieu
Ma meilleure amie étant ma compagne. On a été meilleurs amis avant et on l'est restés.
Michel Fugain
Emporter avec soi son accent familier, C'est emporter un peu sa terre à ses souliers ; Avoir l'accent, enfin, c'est chaque fois qu'on cause, Parler de son pays en parlant d'autre chose.
Miguel Zamacoïs
L'amour c'est le besoin de serrer très fort l'autre dans ses bras, et de se trouver toujours à ses côtés. C'est le désir d'oublier le monde extérieur quand on prend l'autre dans ses bras. C'est le désir de découvrir un refuge sûr pour son âme.
Orhan Pamuk
Pourquoi va-t-on vers des livres comme on va vers des gens ? Pourquoi sommes-nous attirés par des couvertures comme nous le sommes par un regard, une voix qui nous paraît familière, déjà entendue, une voix qui nous détourne de notre chemin, nous fait lever les yeux, attire notre attention et va peut-être changer le cours de notre existence ?
Valérie Perrin