Citation de Louis Aragon

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C'est à la poésie que tend l'homme. Il n'y a de connaissance que du particulier. Il n'y a de poésie que du concret.... - Louis Aragon

C'est à la poésie que tend l'homme. Il n'y a de connaissance que du particulier. Il n'y a de poésie que du concret.

Louis Aragon

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L'homme ne peut hériter le passé, il faut qu'il le recrée.

Arthur Koestler

Qui a une idée vraie sait en même temps qu'il a une idée vraie et ne peut douter de la vérité de sa connaissance.

Baruch Spinoza

Etre libre seul ça n'a pas de sens.

Denis Langlois

Les vivants ne peuvent rien apprendre aux morts ; les morts, au contraire, instruisent les vivants.

François-René de Chateaubriand

La mort est ce merveilleux instant ou le lâcher-prise devient spontané.

Michel Random

J'aime les trains russes, j'aime leur lenteur, pas plus de soixante kilomètres à l'heure en moyenne, qui permet de se laisser doucement engourdir par la monotonie du paysage

Olivier Rolin

L'homme sait assez souvent ce qu'il fait, il ne sait jamais ce que fait ce qu'il fait.

Paul Valéry

La jeunesse est en effet incapable de discerner ce qui est symbole et ce qui ne l'est pas. En revanche, les opinions que, dans un si jeune âge, on a reçues en sa créance tendent à devenir ineffaçables et inébranlables.

Platon

Il vaut mieux se lever à la cloche qu'à la trompette.

Proverbe Français

Il ramène ses idées en avant, comme ses cheveux, pour faire croire qu'il est jeune.

Robert Mallet

Une structure de faits est en trompe l'oeil. Ce que je cherche, c'est plutôt un trompe l'être.

Roberto Matta

Le Brésil ne me fit pas une impression moins forte ; ne me fut pas une promesse moindre. [...] Ici la civilisation créée par l'Europe pouvait se perpétuer et se développer en formes nouvelles et différentes.

Stefan Zweig

Bien lire l'univers, c'est bien lire la vie.

Victor Hugo

Et si le printemps 1968 était l'une des saisons les plus philosophantes que la france ait jamais connues ?

Vincent Cespedes

Le joueur d'échecs, comme le peintre ou le photographe, est brillant... ou mat.

Vladimir Nabokov