La passion est par excellence acte de vie. Ce qui n'en procède pas dépérit inévitablement.
Louis Calaferte
Nous vous aimerons comme vous êtes, si vous êtes parfait.
Alanis Morissette
Je suis au bout de ma route ; - C'était un vrai casse-cou. - J'y vis clair, je n'y vis goutte ; - Je fus sage, je fus fou. - Enfin je me vois au trou - Que n'évite fou ni sage.
Alexis Piron
Je ne considère pas du tout la maternité comme l'apogée de la vie d'une femme.
Camille Froidevaux-Metterie
Ceulx qui sont exercitez à lire l'histoire ainsi qu'il appartient, deviennent...
Jacques Amyot
Le savoir humain sera rayé des archives du monde avant que nous ayons le dernier mot d'un moucheron.
Jean Henri Fabre
Le malheur corrompt tout dans les coeurs abattus ; Et la rendre au bonheur, c'est la rendre aux vertus.
Jean-François de La Harpe
La vie même nous la payons avec la mort.
Panaït Istrati
L'amour n'est qu'un plaisir, l'honneur est un devoir.
Pierre Corneille
C'est l'auditeur qui anime le discours de l'orateur.
Proverbe Persan
L'éloquence vient du coeur.
Quintilien
Il est vrai qu'en France les écrivains ne se lisent pas, ne s'aiment pas les uns les autres, sont assez semblables à des chauves-souris pendues au plafond d'une grotte et que viendrait terrifier la lampe d'un enfant.
Richard Millet
Barbarossa jubile. Il sent des papillons dans son ventre. Cette mort en direct, il la boit, comme une boisson grisante, il emplit son âme avec et il laisse la chaleur l'inonder jusqu'à l'ivresse.
Sire Cedric
La guerre vous met face à un tel danger que vous devez y répondre instantanément. Elle crée des héros, qui d'ailleurs, sont souvent des Hommes n'ayant jamais pensé avoir cela en eux.
Steven Spielberg
Waterloo ! Waterloo ! Waterloo ! Morne plaine ! - Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine. - Dans ton cirque de bois, de coteaux, de vallons, - La pâle mort mêlait les sombres bataillons.
Victor Hugo
Pour nous, en ajournant le développement de notre pensée à une autre occasion, nous nous bornons à dire que nous ne comprenons ni l'homme, comme point de départ, ni le progrès comme but, sans ces deux forces qui sont les deux moteurs : croire et aimer.