Il faut convenir qu'il y a des maux inévitables : ainsi on tue un homme, au bruit des tambours et des trompettes, pour empêcher la désertion dans les armées, et cette barbarie est nécessaire.
Luc de Clapiers
Les gens de la terre : ils comprennent avec leur coeur et ils ont confiance en la nature humaine
Alice Parizeau
La trahison et le mépris sont source de conflit.
Anonyme
La sincérité fait le lien des vraies amitiés, et défait les autres.
Ce qui fait que l'on va si loin dans l'amour, c'est que l'on ne songe pas que l'on a besoin d'autre chose que de ce que l'on aime : l'esprit est plein ; il n'y a plus de place pour le soin ni pour l'inquiétude.
Blaise Pascal
Il n'y a jamais eu de mort à crédit. La mort, on la paie en espèces.
Christine Arnothy
On n'est pas sérieux quand on a dix-huit ans. On est romanesque. On tend à devenir un personnage du grand roman national où littérature et politique s'abouchent. On le devient. On finit aussi français qu'on a commencé.
François Bégaudeau
La mort est douce ! Il n'y a que la vie et toutes les choses inhérentes à la vie qui blessent. N'empêche que nous l'aimons et haïssons la mort. N'est-ce pas étrange ?
Jack London
Si on gagné beaucoup d'argent il faut aider les autres. Je ne veux pas oublier.
Kirk Douglas
Les mômes, ils se farfouillaient les narines, ils tortillaient dans tous les sens.
Louis-Ferdinand Céline
Toutes les dévotes se dédommagent des péchés qu'elles ne font pas par le plaisir de savoir les péchés des autres ; c'est toujours autant de pris...
Marivaux
La Politique, messieurs, devrait être une vocation. Je suis sûr qu'elle l'est pour certain d'entre vous. Mais pour le plus grand nombre, elle est un métier.
Michel Audiard
L'univers nous aide toujours à nous battre pour nos rêves, si bêtes qu'ils puissent paraître. Parce que ce sont nos rêves, et nous sommes seuls à savoir combien il nous a coûté de les rêver.
Paulo Coelho
L'aigle ne prend pas les mouches.
Proverbe Latin
A vouloir tout posséder, tu finis par ne rien avoir.
Sexion d'assaut
L'idée la plus utile aux tyrans est celle de Dieu.
Stendhal