S'embarquer dans la tristesse, c'est comme de se laisser glisser en patins à roulettes le long d'une pente : impossible de prévoir combien de temps durera la descente, mais on sait parfaitement que tout s'arrêtera d'un seul coup.
Un mot vaut une idée dans un pays où l'on est plus séduit par l'étiquette du sac que par le contenu.